Dans une étude, 57 personnes avec un diabète de type 2 ont pris 800 UI de vitamine E d'origine naturelle, 500 mg de vitamine C, 500 ml de jus de tomate (contenant du lycopène) ou un placebo quotidiennement pendant quatre semaines. Chez les sujets prenant de la vitamine E on a observé une réduction de la protéine réactive-C, un marqueur de l'inflammation et un risque nouvellement reconnu de maladie des artères coronaires. La vitamine ralentissait également l'oxydation radicalaire du cholestérol lipoprotéine basse densité (LDL) de 54%. Le lycopène réduisait l'oxydation des LDL de 42% mais n'avait aucun effet significatif sur la protéine réactive-C. La vitamine C n'avait aucun effet significatif sur aucun des facteurs de risque.
Véritable centre de contrôle de notre système nerveux central, notre cerveau doit traiter quotidiennement des millions d’informations. Face à ce flux permanent de données, cet...
Une étude fraîchement publiée dans The Journal of the American Osteopathic Association montre que la vitamine D ne peut pas être correctement utilisée par l’organisme...