Le recours aux compléments alimentaires permet de réduire sensiblement les coûts des soins de santé.
Selon un nouveau rapport économique, la prise de compléments alimentaires spécifiques chez des populations ciblées permet non seulement des bénéfices santé, mais offre également d'importantes économies sur le coût des soins de santé.
Ce rapport dénommé "Réduction des coûts de soins de santé par l'utilisation ciblée de suppléments alimentaire", publié par le cabinet économique Frost & Sullivan, grâce à une subvention de la fondation CRN (Council for Responsible Nutrition), a examiné plus d’une centaine d’études scientifiques sur l’impact de la prise de certains compléments alimentaires chez des populations ciblées, c'est-à-dire des adultes de plus de 55 ans potentiellement à risque de maladies chroniques (maladies cardiovasculaires, diabète, ostéoporose, maladies des yeux liés à l’âge).
Ce rapport montre très clairement que la prise spécifique de compléments alimentaires de manière préventive dans les populations à haut risque peut réduire le nombre de maladies et permet surtout de faire des économies conséquentes – des centaines de millions de dollars - en réduisant le nombre d'hospitalisations et d'autres événements médicaux coûteux associés aux maladies chroniques.
Aux États-Unis, selon les centres de contrôle et de prévention des maladies, 75% de l’argent des soins de santé va au traitement des maladies chroniques et seulement 3% sont consacrés à la prévention.
A titre d’exemple, les actes médicaux liés aux pathologies coronariennes, l'une des conditions examinée dans le présent rapport, coûte 77,92 milliards de dollars par an. Toutefois, selon ce nouveau rapport, si les hommes et les femmes de 55 ans et plus, avec un niveau élevé de cholestérol, avaient pris quotidiennement de manière préventive des fibres alimentaires de type psyllium, les économies auraient pu être d’environ 2,5 milliards de dollars par an, ce qui équivaut à un peu moins de 19,9 milliards de dollars en économies nettes cumulées entre 2013 et 2020 !
De même pour l’ostéoporose, si toutes les femmes de plus de 55 ans avaient des apports quotidiens en calcium et vitamine D proches des niveaux de consommation préventive, la société américaine pourrait économiser 1,5 milliards de dollars par an, soit un peu plus de 12 milliards de dollars entre 2013 et 2020.
Les études à la base de ce rapport ont été réalisées avec huit types de compléments alimentaires pris à des dosages préventifs :
- les vitamines du groupe B, les phytostérols, les oméga-3 et les fibres alimentaires de type psyllium pour les maladies cardiovasculaires.
- Le picolinate de chrome pour le diabète.
- La lutéine et la zéaxanthine pour les maladies des yeux liés à l’âge.
- Le calcium, la vitamine D et le magnésium pour l’ostéoporose.
"Les maladies chroniques ont d’énormes répercussions sur la qualité de vie des gens, et le système de soins de santé consacre une grande partie de l'argent au traitement de ces maladies mais n'a pas réussi à se concentrer sur les moyens de réduire ces coûts grâce à la prévention", a déclaré le président de la fondation CRN. "Nous savions déjà que les compléments alimentaires identifiés dans le rapport pouvaient jouer un rôle dans la réduction du risque de certaines maladies chroniques, nous nous sommes sentis obligés de savoir s’ils pouvaient également contribuer à des économies sur les coûts de soins de santé en réduisant les actes médicaux associés. Ce nouveau rapport permet de le confirmer de façon catégorique".
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