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01-09-2008

Préserver la santé de la prostate avec des nutriments naturels synergiques

Le vieillissement s'accompagne souvent chez l'homme de pathologies de la prostate, hypertrophie, prostatite ou cancer. Des nutriments naturels extraits de plantes et des minéraux peuvent aider à prévenir ou à retarder l'apparition de ces problèmes de santé par leurs actions synergiques sur les différents mécanismes de leur développement.

Beaucoup d'hommes vieillissants voient la santé de leur prostate décliner, entraînant des conséquences significatives sur leur bien-être et leur style de vie. L'une des pathologies les plus fréquentes est l'hypertrophie bénigne de la prostate, ou adénome prostatique.
Elle se manifeste par une augmentation du volume de la partie centrale de la prostate qui entraîne des troubles urinaires plus ou moins gênants. En augmentant de volume, la prostate comprime progressivement l'urètre, rendant plus difficile le passage de l'urine. Dans un premier temps, la vessie lutte contre cet obstacle en se contractant plus souvent, provoquant des envies fréquentes d'uriner et des besoins soudains et urgents. Dans un deuxième temps, si l'obstacle persiste, la vessie aura tendance à être moins efficace. Cela va se traduire par la nécessité de forcer pour uriner, un jet d'urine nettement diminué, une vidange incomplète de la vessie, une miction goutte à goutte…

L'extrait de prunier d'Afrique (Pygeum africanum)

Pygeum africanumL'extrait de prunier d'Afrique est utilisé depuis de nombreuses années dans le traitement de différents troubles de la prostate et, en particulier, de l'hypertrophie bénigne. C'est au xvie siècle que des voyageurs européens ont commencé de s'intéresser aux propriétés de cet arbre, en découvrant que des tribus d'Afrique du Sud utilisaient son écorce pour traiter des troubles de la vessie qu'ils appelaient « la maladie du vieil homme ». En Europe, l'extrait d'écorce de Pygeum est utilisé chez l'homme dans le traitement de l'hypertrophie bénigne de la prostate depuis le milieu des années 1960. De nombreuses études en double aveugle ont montré son efficacité à réduire les symptômes de cette maladie.
Des travaux sur animaux ont montré que le Pygeum module la contractibilité de la vessie. D'autres essais indiquent qu'il exercerait une action anti-inflammatoire1. L'écorce de Pygeum contient de nombreux ingrédients bénéfiques, dont des phytostérols, tels les bêta-sitostérols, qui exercent une action anti-inflammatoire en inhibant la production de prostaglandines dans la prostate. Le Pygeum pourrait également prévenir la surcroissance des cellules qui contribuent au développement de l'hypertrophie bénigne de la prostate. Des recherches suggèrent que le Pygeum pourrait le faire en inhibant le facteur de croissance basique de fibroblaste, un signal biochimique impliqué dans le développement de l'hypertrophie bénigne de la prostate. Dans une étude de laboratoire, un extrait de Pygeum a démontré un effet antiproliférateur sur des cellules de prostate provenant de rats, exercé en partie à travers l'inhibition du facteur de croissance basique de fibroblastes2.
L'hypertrophie de la prostate peut empêcher le vidage de la vessie, ce qui peut conduire à des modifications cellulaires et fonctionnelles dans les tissus de la vessie. Des études sur des lapins suggèrent qu'un prétraitement avec du Pygeum aide à empêcher la vessie de développer des dysfonctionnements contractiles et biochimiques induits par une obstruction partielle de l'écoulement de la vessie, probablement en protégeant cette dernière des lésions ischémiques3.

L'extrait de racine d'ortie (Urtica dioica)

OrtiesL'extrait de racine d'ortie est largement utilisé en Europe pour traiter l'hypertrophie de la prostate. Plus de 20 études cliniques ont démontré que, seul ou combiné à d'autres plantes, il améliore les symptômes cliniques de l'hypertrophie bénigne de la prostate et de la prostatite. La commission E allemande et l'European Scientific Cooperative on Phytotherapy (ESCOP) recommandent son utilisation spécifiquement pour soulager les troubles urinaires associés à l'hypertrophie bénigne de la prostate.

L'extrait de pollen de seigle

Le pollen est la semence mâle produite par les étamines des fleurs. Il est constitué d'une multitude de particules microscopiques, les grains de pollen, dont la taille est de l'ordre du micron. Les extraits de pollen sont utilisés depuis de nombreuses années dans différents pays d'Europe et d'Asie pour les problèmes de prostate. Des études croisées en double aveugle ont démontré l'utilité d'extraits de pollen dans la prévention et le traitement de prostatites ou d'hypertrophie bénigne de la prostate.
Les données expérimentales indiquent que les extraits de pollen inhiberaient la formation de dihydrotestostérone (DHT), bloqueraient la liaison de la DHT au récepteur alpha-1 ou accéléreraient l'élimination de la DHT et de ses produits dérivés des cellules de la prostate. La DHT, la forme active de la testostérone, stimule la croissance des cellules de la prostate.
On a montré que l'extrait de pollen de seigle a des propriétés anti-inflammatoires 4, qu'il relâche les muscles entourant l'urètre5 et qu'il inhibe la croissance des cellules de prostate6. Dans des essais non contrôlés, il a également amélioré les symptômes de la prostatite chronique. Dans un essai, trois comprimés par jour d'extrait de pollen de seigle réduisaient significativement les symptômes chez 78 % des sujets atteints d'une prostatite simple7.

Seigle


Une méta-analyse a passé en revue des essais cliniques menés avec un extrait de pollen de seigle et a évalué son efficacité dans le traitement de l'hypertrophie bénigne de la prostate. Les chercheurs ont examiné deux essais contrôlés par placebo et deux essais comparatifs (d'une durée de 12 à 24 semaines) portant sur un total de 444 patients souffrant de cette affection. Les résultats ont indiqué dans l'ensemble que la prise d'un extrait de pollen de seigle fait diminuer la nycturie (émission d'urine plus importante la nuit que le jour). Il n'a par contre pas eu d'incidence sur les autres symptômes de l'hypertrophie bénigne de la prostate8.

La quercétine améliore les symptômes de la prostatite

QuercetineLa quercétine est un flavonoïde avec de puissantes propriétés antioxydantes. C'est également un anti-inflammatoire capable d'inhiber la formation de médiateurs de l'inflammation : les prostaglandines et les leucotriènes.
La prostatite est une inflammation ou une infection du gland de la prostate. Cette maladie est responsable de douleurs chroniques et de difficultés d'uriner appelées parfois syndrome chronique de douleur pelvienne. Les traitements conventionnels sont souvent insatisfaisants.
Un essai en double aveugle contrôlé contre placebo d'une durée d'un mois portant sur 30 hommes souffrant de prostatite a testé la possible efficacité de la quercétine dans le traitement de cette maladie. Les participants ont reçu un placebo ou 500 mg de quercétine deux fois par jour. Les résultats ont montré que la prise de quercétine a amélioré de façon statistiquement significative les symptômes des sujets alors que la prise du placebo n'avait aucune incidence9.

En diminuant l'inflammation, la 5-Loxin® réduit le risque de maladie

L'hypertrophie bénigne de la prostate, la prostatite non bactérienne, le cancer ou la néoplasie prostatique intra-épithéliale sont associés à un état d'inflammation chronique élevée.
Des études indiquent que la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens tels l'aspirine ou l'ibuprofène diminue le risque d'hypertrophie bénigne de la prostate ainsi que celui d'avoir des niveaux élevés de PSA (l'antigène spécifique de la prostate) utilisé pour détecter la présence d'un cancer de la prostate. L'aspirine inhibe les enzymes cyclooxygénases (Cox-1 et Cox-2) impliquées dans la voie inflammatoire de l'acide arachidonique. La Cox-2, tout comme la 5-lypoxygénase (Lox-5), favorise également la prolifération des cellules cancéreuses de prostate.
La lipoxygénase (Lox-5) génère des molécules inflammatoires. Des échantillons de cellules de cancer de la prostate prélevés sur des hommes atteints de cette maladie montrent une concentration importante de l'enzyme Lox-510. D'autres travaux indiquent que des agents inhibant l'enzyme Lox-5 détruisent les cellules cancéreuses humaines de prostate, suggérant que des inhibiteurs de cette enzyme pourraient avoir des applications dans la prévention ou l'arrêt de la croissance de cancers de la prostate11.
5-Loxin® est un extrait breveté standardisé de Boswellia serrata qui apporte 30 % d'acide acétyl-11-kéto-bêta boswellique (AKBA). Des recherches ont identifié l'AKBA comme le plus puissant de tous les acides boswelliques. La 5-Loxin® se lie directement à la Lox-5 et inhibe son activité productrice de molécules inflammatoires. Dans une étude animale comparant l'efficacité de la 5-Loxin® à celle de l'ibuprofène, un médicament anti-inflammatoire, la 5-Loxin® produisait une réduction de 27 % de l'inflammation contre une diminution de 37 % générée par le médicament12.

Les phytostérols de soja diminuent les symptômes

sisterolsLe bêta-sitostérol est l'un des principaux phytostérols du soja. On le trouve également, à une moindre concentration, dans le prunier d'Afrique. Plusieurs études ont montré l'intérêt du bêta-sitostérol pour soulager les troubles urinaires liés à l'hypertrophie de la prostate. On le retrouve dans la composition de différents médicaments européens traitant ces problèmes.
Dans une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo et multicentre, 200 hommes ayant une hypertrophie bénigne de la prostate ont reçu de façon aléatoire quotidiennement 180 mg de bêta-sitostérol ou un placebo. Six mois de supplémentation ont amélioré les symptômes de l'hypertrophie de la prostate. Le flux urinaire, entre autres, est passé de 9,9 ml/s à 15,2 ml/s tandis que chez les sujets témoins il ne passait que de 10,2 à 11,4 ml/s. De plus, l'urine résiduelle dans la vessie est passée de 65,8 ml à 30,4 ml, soit une réduction de presque 65 %13.

Thé vert et risque de cancer de la prostate

La Chine est le pays où l'incidence du cancer de la prostate est la plus faible du monde. C'est aussi un pays où la population consomme régulièrement du thé vert. Un certain nombre d'études, sur l'homme comme sur des souris, a montré que les polyphénols du thé vert, en particulier le principal d'entre eux, l'épigallo catéchine gallate (EGCG), bloquent le développement des cellules de cancer de la prostate. L'EGCG inhibe la cyclooxygénase-2 (Cox-2) impliquée dans le développement et la propagation du cancer de la prostate.
Thé vertDes chercheurs ont examiné de quelle façon l'EGCG affectait la cyclooxygénase (Cox-2) dans des cellules humaines de cancer de la prostate. La surexpression de la Cox-2 a été impliquée dans de nombreuses maladies incluant les cancers. Ils ont démontré que l'EGCG inhibe la Cox-2 sans affecter l'expression de la Cox-1 dans les cellules humaines de cancer de prostate, qu'ils soient ou non dépendants des androgènes14.
Dans une autre étude, l'EGCG de thé vert a affecté l'activité et l'expression du PSA (antigène spécifique de la prostate). Celui-ci est capable d'influer sur la migration des cellules - les métastases - ou d'autres processus important du cancer.
D'autres travaux indiquent que l'EGCG inhibe efficacement l'enzyme 5-alpha réductase de type 1, réduisant ainsi la synthèse de la dihydrotestostérone (DHT) qui contribue au développement de l'hypertrophie bénigne et du cancer de la prostate15.

Les lignanes des graines de lin freinent le développement du cancer de la prostate

LinLes lignanes ont montré de remarquables propriétés prévenant le développement et la progression du cancer de la prostate. Les lignanes sont des composants naturels, constituées à partir de formes glycosylées inactives (secoisolaricirésinol et matairésinol) qui, après hydrolyse enzymatique par la flore intestinale, donnent des composés actifs : l'entérodiol (rapidement oxydé en entérolactone) et l'entérolactone. Des données provenant d'études animales et sur l'homme indiquent que les entérolactones protègent des cancers hormono-dépendants.
Les entérolactones sont également capables d'inhiber la 5-alpha-réductase, réduisant ainsi les niveaux de la DHT, impliquée dans le développement de l'hypertrophie bénigne de la prostate16.
Plusieurs études ont montré qu'avec le vieillissement, les niveaux d'œstrogènes augmentent chez l'homme et sont en partie responsable du développement de l'hypertrophie bénigne et du cancer de la prostate. Les entérolactones agissent avec différents mécanismes pour réduire ces niveaux d'œstrogènes : ils inhibent l'enzyme aromatase responsable de la conversion de la testostérone en œstradiol, un puissant œstrogène17. Ils peuvent également diminuer les niveaux d'œstrogènes en inhibant leur liaison à la principale protéine de transport appelée sex hormone binding protein (SHGB), permettant ainsi au foie d'accélérer plus efficacement l'élimination métabolique naturelle des œstrogènes.

De fortes concentrations de zinc présentes dans les cellules épithéliales de prostate

Les cellules épithéliales de la prostate accumulent des concentrations de zinc significativement plus élevées que n'importe quelle autre cellule de l'organisme. On a montré que l'accumulation de niveaux intracellulaires élevés de zinc dans des cellules spécifiques de prostate induit un contrôle de l'autocroissance par les cellules et inhibe la croissance cellulaire. Cet effet apoptotique est dû à l'induction par le zinc d'une autorégulation des gènes de croissance cellulaire dans les mitochondries18. Le zinc inhibe également l'activité de l'enzyme 5-alpha-réductase qui convertit la testostérone en DHT19. De plus, des quantités adéquates de zinc s'opposent à la liaison de produits dérivés spécifiques de la testostérone aux récepteurs des cellules de prostate, les empêchant ainsi d'exercer leurs effets.

La racine d'Hydrangea arborescens

HydrangeaL'Hydrangea a été longtemps utilisé par les Indiens Cherokee d'Amérique du Nord sous forme de décoction ou de tisane comme diurétique. Sa racine est également employée pour traiter les calculs rénaux et est encore utilisée aujourd'hui dans cette indication par les phytothérapeutes. En réduisant la taille des calculs, elle favorise leur évacuation sans douleur.
L'Hydrangea contient des glycosides, des saponines, des résines, de la rutine, des huiles essentielles et des flavonoïdes. En raison de ses propriétés diurétiques douces qui aident à accroître le flux urinaire, l'Hydrangea est utilisé depuis des centaines d'années dans le traitement des infections et de l'hypertrophie bénigne de la prostate.

Le lycopène diminue le risque de cancer de la prostate

LycopeneLa progression de l'hypertrophie bénigne de la prostate en cancer est une préoccupation importante de nombreux patients. On a montré que le lycopène, ce caroténoïde qui donne sa couleur rouge aux tomates, diminue l'occurrence du carcinome de la prostate, suggérant qu'il pourrait aider à prévenir le cancer. Le lycopène diminue les niveaux sériques de PSA (antigène spécifique de la prostate) et les lésions oxydatives sur les tissus de la prostate. Chez les patients consommant de la sauce tomate, l'apoptose montre une tendance à augmenter chez ceux ayant une hypertrophie bénigne de la prostate. Dans une étude contrôlée contre placebo de six mois, le lycopène a réduit les niveaux de PSA, prévenu l'hypertrophie de la prostate et réduit ses symptômes chez des hommes âgés20.

BoreLe bore


Des études ont montré qu'il ralentit l'élévation du PSA (antigène spécifique de la prostate), probablement en empêchant la dégradation des enzymes dans la prostate.

Le sélénium prévient et ralentit le cancer de la prostate

De nombreuses études ont montré que le sélénium joue un rôle important dans la protection de la santé de la prostate et notamment contre le cancer.
L'une d'entre elles a porté sur 1 312 individus qui ont reçu 200 mcg de sélénium ou un placebo quotidiennement. Ses résultats ont montré une réduction de presque 50 % du risque de cancer de la prostate chez les hommes supplémentés par rapport aux témoins21. Quelques années plus tard, une autre étude a confirmé ces résultats. Elle portait sur 48 patients ayant un cancer débutant de la prostate, qui ont pris, trois à six semaines avant une prostatectomie, du sélénium, de la vitamine E, les deux ou un placebo. Chez les hommes supplémentés, les résultats ont été une modification des indications des marqueurs sériques qui sont passées de cancéreux à sains.
Un essai de six semaines sur des patients ayant un cancer de la prostate et des niveaux élevés de PSA a également montré qu'une supplémentation en sélénium avec d'autres antioxydants diminue les niveaux de PSA, indiquant que le sélénium pourrait prévenir et ralentir la progression du cancer de la prostate.

 

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Références :


1. Szolnoki E. et al., The effect of Pygeum africanum on fibroblast growth factor (FGF) on transforming growth factor beta (TGF beta 1/LAP) expression in animal model, Acta Microbiol. Immunol. Hubg., 2001, 48(1):1-9.
2. Yablonsky F. et al., Antiproliferative effect of pygeum africanum extract on rat prostatic fibroblasts, J. Ur., 1997 Jun, 157(6):2381-7.
3. Levin R.M. et al., Low dose tadenan protects the rabbit bladder from bilateral ischemial/reperfusion-induced contractile dysfunction, Phytomedicine, 2005 Jan, 12(1-2):17-24.
4. Loschen G. et al., Inhibition of arachidonic acid cascade by extract of rye pollen, Arzneimittelforschung, 1991, 41:161-7.
5. Nakase K. et al., Inhibitory effect and synergism of cernitin pollen extract on the urethral smooth muscle and diaphragm of the rat, Nippon Yakurigaku Zasshi, 1988 Jun, 91:385-92 (in Japanese).
6. Habib F.K. et al., In vitro evaluation of the pollen extract, cernitin T-60 extract in the regulation of prostate cells growth, Br. J. Urol., 1990, 66:393-7.
7. Rugendorff E.W. et al., Results of treatment with pollen extract (Cernilton N) in chronic prostatitis and prostatodynia, Br. J. Urol., 1993, 71:433-8.
8. MacDonald R. et al., A Systemic review of Cernilton (rye pollen extract) for the treatment of benign prostatic hyperplasia, VA Center for Chronic disease Outcome Research, Minneapolis, BJU Int., 2000 May, 875(7):836-41.
9. Shoskes D.A. et al., Quercetin in men with category III prostatitis: a preliminary prospective double-blind, placebo-controlled trial, Urology, 1999 Dec, 54(6):960-3.
10. Gupta S. et al., Lipoxygenase-5 over expressed in prostate adenocarcinoma, Cancer, 2001 Feb 15, 91(4):737-43.
11. Matsuyama M. et al., Expression of lipoxygenase in human prostate cancer and growth reduction by its inhibitors, Int. J. Oncol., 2004 Apr, 24(4):821-7.
12. Roy S. et al., Human genome screen to identify the genetic basis of the anti-inflammatory effects of Boswellia in microvascular endothelial cells, DBA cell Biol., 2005 Apr, 24(4):244-55.
13. Berges R.R. et al., Treatment of symptomatic benign prostatic hyperplasia with beta-sitosterol: a 18-month follow-up, BJU Int., May, 85(7):842-6, PMID 10792163.
14. Hussain T. et al., Green tea constituent epigallocatechin-3-gallate selectively inhibits Cox-2 without affecting Cox-1 expression in human prostate cancer cells, Int. J. Cancer, 2004 Sept 28, e-pub ahead of print.
15. Liao S. et al., Selective inhibition of steroid 5-alpha-reductase isozyme by tea epigallocatechin galle, Biochem. Biophys. Res. Commun., 1995 Sept 25, 214(3):833-8.
16. Evans B.A. et al., Inhibition of 5 alpha-reductase in genital fibroblasts and prostate tissue by dietary lignans and isoflavonoids, J. Endocrinol., 1995 Nov, 147(2):295-302.
17. Brooks J.D. et al., Mammalian lignans and genistein decrease the active aromatase and 17 beta-hydroxysteroid dehydrogenase in MCF-7 cells, J. Steroid Biochem. Mol. Biol., 2005 April, 94(5):461-7.
18. Feng P. et al., Direct effect of zinc on mitochondrial apoptogenesis in prostate cells, Prostate, 2002 Sep. 1st, 52(4):311-8.
19. Zaicheick V.Y. et al., Zinc concentration in human prostatic fluid: normal, chronic prostatitis, adenoma and cancer, Int. Urol. Nephrol., 28(1996):687-94.
20. Schartz S. et al., Lycopene inhibits disease progression in patients with benign prostate hyperplasia, J. Nutr., 2008 Jan, 138(1):49-53.
21. Duffield-Lillico A.J. et al., Selenium supplementation, baseline plasma selenium status and incidence of prostate cancer: an analysis of the complete treatment period of nutritional prevention of cancer trial, BJU Int., May 2003, 91(7):608-12.

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