La plupart des gens devraient vivre du début à la fin de leur vie sans rencontrer le cancer. Il en était ainsi il y a quelques dizaines d'années et il en est encore ainsi dans nombre de pays peu industrialisés. Malheureusement, le cancer connaît un développement épidémique dans les pays développés où il dispute souvent, au gré des circonstances locales, le titre peu envié de la "première cause de mortalité" aux maladies cardiovasculaires. Il semble paradoxal que le cancer tue de plus en plus de gens alors que des sommes colossales, d'origine publique ou privée, sont dépensées pour en venir à bout. En fait, la quasi-totalité des sommes engagées l'on été pour le traitement de la maladie. Les succès très modestes de cette approche sont loin d'endiguer la progression de la maladie, et l'argent d'origine publique ou caritative mobilisé n'est pas toujours dépensé de la manière la plus productive, c'est le moins que l'on puisse dire ! D'immenses avancées ont pourtant eu lieu, ces 10 dernières années, dans la recherche sur le cancer. Concernant la prévention, elles n'ont pas bénéficié de la publicité qu'elles méritaient, alors qu'elles permettent un degré de protection équivalent ou supérieur au port de la ceinture de sécurité pour les accidents automobiles. NUTRANEWS espère pouvoir contribuer à combler cette lacune |
Prévenir plutôt que guérirLorsque l'on additionne la souffrance physique et morale au coût humain et social d'une maladie longue, terrible et tenace comme le cancer, on doit se poser la question pourrait-on éviter tout cela ? ". Nous le pourrions, car la prévention du cancer n'a plus rien d'un mystère. Pour l'essentiel, nous savons ce qui cause le cancer. Et nous savons aussi que nos plus fidèles défenses se trouvent en abondance dans le monde végétal qui nous entoure : ce sont des phytonutriments tellement puissants que lorsque nous les consommons en quantité suffisante, ils ont la capacité de réduire considérablement la probabilité de contracter un cancer. Mais le mot quantité est aussi important que celui de qualité. De même que celui qui fume 3 paquets de cigarettes par jour est beaucoup plus à risque de contracter un cancer du poumon que celui qui n'en fume que quelques-unes unes, celui qui consomme des quantités importantes de phytonutriments est beaucoup plus protégé que celui qui consomme ½ pomme à midi et une tomate le soir et qui se dit " j'ai pris mes fruits et légumes, je suis en sécurité ! ". |
La situation telle qu'elle estEn 1996, l'Organisation Mondiale de la Santé estimait à 10 millions le nombre de nouveaux cas de cancer. Sa prévision de 15 millions pour 2001 risque d'être dépassée. Même si ces chiffres peuvent paraître faibles à l'échelle mondiale, ils signifient que, dans certains pays développés, jusqu'à un homme sur deux et une femme sur trois seront touchés, à un moment ou à un autre de leur vie. Il y a donc de quoi se sentir concerné. On estime que la seule alimentation est la cause principale de 30 à 70 % des cancers, un chiffre qui ne comprend pas les cancers attribuables à d'autres facteurs mais qu'une nutrition adéquate aurait jugulés : Pourquoi, par exemple, les Japonais qui fument deux fois plus que les Américains, ont-ils deux fois moins de cancers du poumon ? 6 fois moins de cancers du sein ? et 30 fois moins de cancers de la prostate ? Parce que leur consommation élevée de thé vert, de soja et d'algues les en protège ! |
Réduire la charge toxiqueEn termes simplificateurs : le cancer se produit lorsque l'organisme est envahi de toxines qu'il n'est pas capable d'éliminer, à un point tel que le dommage cellulaire commence à s'accumuler. Bien sûr, il y a aussi une certaine prédisposition génétique ou un affaiblissement des défenses dû à l'âge qui peuvent jouer. Mais le fait est que la majorité des sujets génétiquement prédisposés n'ont jamais le cancer. Le comportement individuel est donc le facteur de risque prédominant. La surexposition aux toxines environnementales est à l'origine de deux nouveaux syndromes identifiés dans les années 90 : la multi-sensitivité chimique et le syndrome de l'immeuble contaminé. Les pesticides, les métaux lourds et les solvants impliqués endommagent le système nerveux central et le système endocrinien. Certains colorants alimentaires accroissent la prolifération des cellules cancéreuses oestrogéne-dependantes. Les PCB (des contaminants chimiques du lait) doublent le risque de cancer du sein. 75 millions de tonnes de pesticides dont l'usage est interdit dans les pays développés (comme le DDT et le chlordane) sont exportés par les seuls USA dans les pays du tiers monde chaque année. Ces poisons reviennent dans nos supermarchés intégrés à la chaîne alimentaire sous forme de produits " tropicaux " ou " hors saison ". On a retrouvé des traces de DDE et de DDT dans des côtelettes de mouton, des épinards, des raisins et du fromage importés. Et comme ces pesticides s'évaporent dans l'atmosphère, ils peuvent même voyager avec les nuages et revenir chez nous sous forme de pluie
Dans un article publié en 1994 dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), Derva Lee Davis notait que les hommes et femmes nés dans les années 40 contractent respectivement 2 fois plus et 30 % de plus de cancers provoqués par des causes autres que le tabac par rapport à ceux nés en 1890. Depuis 1976, l'Agence (américaine) pour la Protection de l'Environnement mesure les toxines stockées dans la masse graisseuse lors des autopsies et des actes chirurgicaux : 20 composés toxiques dont l'OCDD (une Dioxine), le dichlorobenzene, le toluène, le DDE et les PCB sont présents dans plus de 75% des échantillons. Dans certaines zones, les métabolites organochlorés des pesticides et des herbicides sont présents dans 100% des prélèvements. |
Qu'est ce que le cancer ?On appelle cancer un groupe de maladies qui affectent la plupart des populations humaines et animales et qui peuvent survenir dans toute partie de l'organisme composée de cellules capables de se diviser. Les cellules cancéreuses ne croissent plus normalement mais de maniére incontrôlée. Elles ne remplissent plus leurs fonctions normales mais deviennent, en quelque sorte, indépendantes. Lorsqu'elles se divisent et se multiplient, elles donnent naissance à d'autres cellules cancéreuses. Lorsque le cancer croît, l'organisme hôte subit les conséquences du développement de la tumeur d'origine puis de ses métastases éventuelles sur d'autres sites. Le cancer le plus courant dans les pays développés est celui du poumon, suivi de ceux du colon, de la prostate et du pancréas. |
Etape par étapeLe processus par lequel la maladie progresse peut être simplifié ainsi : Cancer è Métastases Les pro-carcinogènes diffèrent des carcinogènes parcequ'ils ont besoin de l'assistance de certains enzymes pour exercer leur effet. Le benzoprene par exemple (présent dans la fumée des cigarettes) doit être activé par des enzymes pour devenir le benzoprène époxyde, un carcinogène très puissant. Deux phytonutriments (le thé vert et la curcumine) peuvent bloquer les enzymes qui opèrent cette conversion et donc inhiber au moins partiellement certains des effets du tabagisme sur l'ADN. Les carcinogènes, eux n'ont besoin d'aucune assistance pour initier le processus cancéreux et peuvent endommager directement l'ADN, c'est le cas des PCB, de la Dioxine ou des rayons ultraviolets, parmi d'autres. |
Eviter les carcinogènesC'est, autant que faire se peut, la première mesure de bon sens à prendre. Les carcinogènes appartiennent à quatre groupes principaux : |
Renforcer votre système immunitaireLes cellules du système immunitaire sont une armée au grand complet, avec ses multiples spécialités, et les cellules malignes sont une des cibles qu'elles ont la capacité et la volonté de détruire. Les " cellules naturellement tueuses " (de l'anglais Natural Killer Cells), parfois aussi nommées granulocytes, sont remplies de granules qui eux même contiennent une variété de produits chimiques capables de détruire les cellules malignes. En fait, même chez la personne bien portante, des cellules malignes se forment tous les jours et les cellules tueuses les éliminent, parce que notre système immunitaire est programmé pour éliminer le cancer. |
Le défenseur de première ligne : le foieLe foie est l'organe du corps responsable de la détoxification : il possède un système enzymatique en deux phases spécialisé dans l'élimination des carcinogènes : La détoxification de phase 1 met en œuvre une famille d'enzymes nommée cytochrome P450, dont le rôle est de désagréger les liaisons chimiques qui attachent les toxines les unes aux autres. La détoxification de phase 2 permet de terminer le travail en attachant les toxines libérées par la phase 1 à des enzymes détoxifiantes (c'est la conjugation). Cette opération critique permet d'éviter que les toxines n'aillent altérer l'ADN dans les cellules saines. Les deux principales enzymes détoxifiantes sont l'acide glucuronique et le glutathion. Le glutathion est l'antioxydant le plus abondant dans le corps humain : c'est aussi son arme de pointe contre les carcinogènes. Une étude publiée en 1998 dans le Journal of the National Cancer Institute a montré que de bas niveaux de glutathion sont associés à un risque quadruple de cancer du sein. La meilleure source de glutathion est la N-acetylcystéine (NAC), forme acétylée de l'acide aminé L-cystéine. La NAC est bien tolérée, bien absorbée et se convertit aisément en glutathion dans l'organisme. En fait, la prise de NAC permet d'augmenter beaucoup plus facilement le taux sérique de glutathion, et elle est plus économique que la prise de glutathion directement par voie orale. Plusieurs autres nutriments stimulent le processus de détoxification de phase 2 : la D-limonène, un phytonutriment présent dans l'écorce de l'orange amère, est sans doute le plus puissant promoteur des enzymes de phase 2. Le brocoli et les autres végétaux crucifères contiennent des indoles qui activent la phase 2. Le thé vert et la curcumine agissent directement sur les gènes qui sont codés pour promouvoir cette activité enzymatique. La silymarine protège les cellules du foie des dommages causés par les toxines et supporte indirectement le niveau de glutathion en se substituant à lui dans son rôle antioxydant. Le sélénium est un cofacteur important du glutathion et interagit avec une enzyme, la glutathion peroxydase, qui accroît son efficacité antioxydante. |
Les nutriments antioxydants sont souvent aussi anti carcinogènesLes antioxydants et les phytonutriments sont la force de frappe de la prévention du cancer. L'avenir réserve encore certainement de belles découvertes mais la recherche a déjà identifié un arsenal impressionnant. Vous pouvez vivre en pleine forme et sans maladie si vous choisissez bien vos nutriments et vous pouvez aussi vous protéger du cancer avec une nutrition appropriée. |
Une étude réalisée en 1993 a montré que la génistéine peut prévenir la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins. Ces résultats ont été confirmés par une étude in vitro allemande et une étude récente de l'université John Hopkins de Baltimore. Les tumeurs cancéreuses ne peuvent prospérer sans angiogénése, c'est à dire sans croissance de nouveaux vaisseaux qui les alimentent en nutriments, au détriment de l'organisme qui les nourrit. La recherche anti-cancer a toujours espéré trouver un bon inhibiteur d'angiogénèse. L'intérêt initial pour le cartilage de requin, qui n'a pas été confirmé par des études sérieuses, était fondé sur des allégations spécifiques dans ce domaine. Les résultats portant sur la génistéine sont beaucoup plus encourageants. La génistéine inhibe la formation de protéines spécialisées (" stress proteins ") que les tumeurs cancéreuses génèrent pour se défendre contre les attaques du système immunitaire. Une étude publiée en 1998 dans le Journal of the National Cancer Institute estime que, par ce mécanisme, la génistéine peut être un excellent traitement adjuvant à la chimiothérapie et à la radiothérapie. Une étude publiée en 1996 montre que la génistéine bloque l'activation de la tyrosine kinase, une enzyme que fabriquent les tumeurs pour déjouer le mécanisme d'apoptose (mort programmée) inscrit dans chaque cellule. Une étude de 1996 montre que la génistéine peut ainsi inhiber la croissance de cellules cancéreuses prostatiques. Enfin, la génistéine possède une structure chimique similaire à celle des hormones sexuelles œstrogènes, et se fixe sans difficulté sur les mêmes récepteurs cellulaires. Or la génistéine n'exerce qu'une très faible activité directement oestrogénique. La génistéine est donc particulièrement efficace pour bloquer le développement de tous les cancers oestrogéne-dépendants, notamment ceux du sein, de l'utérus, de la prostate et du colon, des sites où les récepteurs oestrogéniques sont particulièrement nombreux. |
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L'extrait de thé vert inhibe le développement de tumeurs causés par les rayons ultraviolets B. Il inhibe la progression du cancer, dans les études animales, à différents sites : estomac, duodenum, colon, foie et pancréas. Dans les études animales, l'application d'extrait de thé vert sur des lésions cutanées précancéreuses a empêché qu'elles se développent en mélanomes. Le thé vert neutralise les nitrosamines, carcinogènes alimentaires qui induisent le cancer de l'estomac. D'après une étude du Saitana Cancer Center au Japon, le thé vert, lorsqu'il est consommé en quantité suffisante (au moins 10 tasses par jour) diminue radicalement la progression des cancers déjà initiés : les patients atteints de cancers et gros buveurs de thé vert vivent en moyenne 4 ans et demie de plus (hommes) et 6 ans et demie de plus (femmes) que les patients qui en boivent moins de 3 tasses par jour ! peu de traitements conventionnels du cancer peuvent s'enorgueillir d'un tel impact statistique sur la progression de la maladie. Le pycnogenol (extrait de l'écorce du pin maritime) et l'extrait de pépins de raisins contiennent des flavonoïdes, les proanthocyanidines, qui sont parmi les antioxydants les plus puissants jamais découverts. Stewart Brown, Ph.D., de l'université de Nottingham en Grande-Bretagne, a montré que les proanthocyamidines, ralentissent la mutation des cellules cancéreuses. Et D.White a montré qu'ils inhibent la création d'un des composés les plus carcinogènes issus du benzoprène dans la fumée de cigarettes. L'acide alpha-lipoïque est un antioxydant puissant, hydrosoluble et liposoluble, qui est aussi un chélateur des métaux lourds. D'après Richard Passwater, Ph.D., l'acide alpha-lipoïque peut empêcher l'activation des oncogènes (les gènes qui déclenchent le cancer lorsqu'ils sont activés par un carcinogène), en raison de sa capacité unique à pénétrer le cytosol (noyaux cellulaire) où il inhibe le " facteur nucléaire kappa-B ". Le NF kappa-B active les oncogènes sous l'influence des radiations, des ultraviolets ou des radicaux libres. Le coenzyme Q10 est surtout connu pour réduire la mortalité et améliorer la qualité de vie des patients de maladies cardio-vasculaires. Le CoQ10 est aussi un antioxydant puissant qui pénètre jusque dans les mitochondries les " centrales énergétiques " des cellules. L'intérêt des oncologues pour les CoQ10 fait suite à une petite étude réalisée à Copenhague sur 32 patientes atteintes de cancer du sein. Les patientes reçurent 90 mg de CoQ10 par jour : après plusieurs mois, il y avait rémission partielle des tumeurs chez 10 femmes, et après 2 ans, toutes les patientes étaient encore en vie alors que statistiquement il y aurait dû y avoir au moins 4 décès. Le plus intéressant est que dans deux cas où le dosage fût accru à 300 mg par jour, la tumeur régressa jusqu'à ce qu'elle ne soit plus palpable et devienne invisible à la mammographie. D'après le Dr Knud Lockwood, qui pilotait l'étude, c'était la première fois qu'il assistait à la régression spontanée complète d'une tumeur de 2 cm. Plusieurs autres études sont en cours pour valider ces résultats, et certains résultats préliminaires semblent extrêmement favorables. |
Le resveratrol est un antioxydant puissant que l'on trouve surtout dans le raisin rouge et dans le vin qui en est tiré. Le resveratrol est un inhibiteur puissant de l'enzyme CoX-2 qui joue un rôle majeur dans la promotion des cancers d'origine inflammatoire. Dans une expérience réalisée en 1997 à l'université d'Illinois, le resveratrol a permis de réduire de 88% le nombre de souris qui développent des cancers de la peau, et de 98% le nombre de tumeurs sur celles qui en contractent, par rapport aux contrôles, : c'est ce qu'on appelle un bon point de départ pour la recherche ! La fucoxanthine est un carotenoïde issu des algues brunes. Dans une étude où des souris reçurent un puissant carcinogène destiné a induire des tumeurs du duodenum, la fucoxanthine a permis de réduire significativement le nombre de souris atteintes et le nombre de tumeurs par souris. Les études in vitro sur des souches cancéreuses humaines confirment ce résultat. Un isoflavonoïde, la klevitone, semble, dans les études in vitro, avoir aux moins 3 fois plus d'action inhibitrice sur les cellules cancéreuses du sein que la génistéine. Plusieurs études réalisées à l'université de médecine du Maryland par Abdulkalam Shamsuddin, M.D., Ph.D., ont montré que l'administration d'hexaphosphate d'inositol (IP-6) réduit fortement l'incidence et la taille des tumeurs cancéreuses dans les expériences animales. La recherche in vitro a confirmé ces études. L'acide procatechuique (PCA) , un acide phénolique courant dans les végétaux comestibles, réduit l'activité des nitrosamines dans l'estomac et inhibe fortement le développement des cancers du colon, du foie, de la vessie et de la bouche chez le rat et le hamster. L' acide linoléique conjugué (CLA) est un acide gras que l'on trouve surtout dans la viande et le lait des bovins nourris en herbage et pâturage. Le CLA protège les animaux de laboratoire de l'induction expérimentale du cancer du sein par le MNU, un puissant carcinogène. L' acide ellagique est un polyphénol que l'on trouve surtout dans les fraises, les mûres, les framboises et le cassis : il inhibe les cancers induits chimiquement chez les animaux de laboratoires dans les poumons, la peau, le foie et l'œsophage. L'acide ellagique inhibe certains enzymes qui libèrent les éléments les plus toxiques des carcinogènes et il stimule la production de glutathion et d'autres enzymes détoxifiantes. L'acide ellagique protège aussi l'ADN et l'aide a résister aux mutations induites par les carcinogènes. Son efficacité a été démontrée, in vitro et sur des modèles animaux, sur des carcinogènes aussi variés et puissants que les radiations, le tétrachloride, les nitrosamines et l'aflatoxine. Nous espérons que vous avez compris qu'il ne tient qu'à vous de prendre les mesures nécessaires : éviter les carcinogènes, adopter une alimentation saine et un programme de supplémentation préventif, pour vivre toute votre vie sans jamais rencontrer le cancer. C'est un véritable scandale de dépenser des sommes colossales pour traiter avec un succès très modeste une maladie que des mesures préventives simples et beaucoup moins coûteuses permettraient d'éradiquer. Si l'on considère la situation exactement similaire de l'autre grande cause de mortalité dans les pays développés, les maladies cardiovasculaires, on finit par se demander si la situation actuelle ne fait pas l'affaire de certains groupes d'intérêt et si " l'industrie du cancer " n'est pas devenue, tout simplement, un business comme un autre
Nous ferons deux remarques pour terminer : Cet article est largement inspiré des idées développées dans l'ouvrage "Dr Gaynor's Cancer Prevention Program" de Mitchell L. Gaynorr, M.D. (Kensington Publishing Corp., New York, 1999). L'ouvrage contient les références complètes des études citées dans cet article. Le Dr Gaynor est directeur de l'Oncologie Médicale au Strang Cancer Prevention Center, qui est affilié à l'Hôpital de New York. Kostenlos Danke für Ihren Besuch, bevor Sie uns verlassen |