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01-06-2002

Rencontre avec Durk Pearson et Sandy Shaw


Quels changements avez-vous observés dans votre alimentation au cours de ces dix dernières années ?

Durk Pearson : Le seul changement dans mon alimentation est que je prenais des quantités très importantes d'huiles de poissons des mers froides qui sont riches en acides gras polyinsaturés Omega-3, les EPA et DHA. J'aimais le poisson et j'en mangeais deux fois par semaine. Maintenant, je prends des suppléments tous les jours. Je prends également 120 mg de CoQ10 par jour.

Pour quelles raisons ces changements ?

Durk Pearson : Il y a une énorme quantité de preuves montrant que l'EPA et le DHA réduisent de façon radicale le risque de maladie cardiovasculaire. Ils diminuent de moitié et plus le risque de mort subite. Ils ont également des propriétés cruciales qui diminuent les risques d'athérosclérose. La CoQ10 a également de réels bénéfices cardiovasculaires et aide à contrôler les radicaux libres.
Ces changements ? C'est simplement une question de données disponibles. Je ne veux pas prendre des choses qui n'ont pas d'effet ou qui ne sont pas sans danger. Je veux être certain qu'il y a suffisamment de données disponibles.
Nous pouvons aussi parler de l'homocystéine et de quelle façon abaisser ses niveaux avec des vitamines B6 et B12. Récemment, une étude prospective très intéressante a été publiée dans laquelle les niveaux d'homocystéine ont été mesurés. Les chercheurs ont ensuite observé les sujets ayant les niveaux les plus élevés d'homocystéine qui par la suite, des années plus tard, ont développé une maladie d'Alzheimer. L'homocystéine est neurotoxique et semble intervenir, au moins en partie, dans le mécanisme des lésions de la maladie d'Alzheimer. Les sujets qui avaient les niveaux les plus élevés d'homocystéine, plusieurs années avant l'apparition de ses premiers symptômes, avaient beaucoup plus de risques de développer la maladie d'Alzheimer.

En dehors des suppléments nutritionnels quels types d'aliments composent votre alimentation ?

Durk Pearson : Nous mangeons beaucoup de protéines. Nous évitons les hydrates de carbone à fort index glycémique comme les amidons qui sont rapidement convertis en glucose sanguin parce qu'avec l'âge, la glycémie augmente. Nous mangeons beaucoup de protéines. Les protéines de lait sont les meilleures pour leurs effets stimulants sur le système immunitaire. Nous buvons aussi beaucoup de produits laitiers. Sandy est intolérante au lactose. Alors elle prend un lait traité avec l'enzyme lactase qui décompose le lactose. A cause de mon passé génétique d'Européen du Nord, je suis probablement capable de boire beaucoup de lait jusqu'à l'âge de 90 ans sans avoir besoin d'enzymes additionnelles. Des quantités importantes de produits laitiers sont très efficaces pour réduire les risques chez les diabétiques et les obèses. Une étude a récemment montré que des personnes souffrant de surpoids qui consommaient des produits laitiers plus de 35 fois par semaine avaient 73% moins de risque de souffrir du syndrome d'insulino-résistance que celles qui n'en consommaient que 10.

Sandy Shaw : Nous mangeons aussi beaucoup de légumes. J'aime les fruits et les légumes. Je mange du céleri tous les jours et beaucoup de fruits.

Mais il y a du sucre dans les fruits.

Durk Pearson : Oui, mais dans les fruits, le sucre est libéré lentement. Et puis, il y a une grande différence entre manger un fruit entier, non coupé, et boire un jus de fruit. Les sucres du jus de fruit sont rapidement absorbés, votre glycémie augmente et provoque rapidement une réponse insulinique. Par contre, si au lieu de boire un jus de pomme, vous manger le fruit entier, votre glycémie augmente beaucoup plus lentement. C'est la même chose si vous cuisez la pomme. Le sucre n'est plus emprisonné dans la matrice cellulosique et, si vous mangez le fruit cuit, votre glycémie augmente rapidement..

Est-il vraiment possible de ralentir le processus du vieillissement simplement par la nutrition ?

Durk Pearson : Oh oui ! Je pense certainement qu'il est possible de réduire le risque de maladie liée au vieillissement. Je ne crois pas que ce que nous faisons maintenant aura beaucoup d'effet sur la durée maximum de vie de l'homme qui est actuellement de 120 ans. Une Française détient le record de longévité et est morte récemment à 122 ans.

Sandy Shaw : En ce moment, avec les techniques actuellement disponibles, nous pouvons juste réduire le risque de maladies liées à l'âge.

Durk Pearson : Les progrès avancent vraiment rapidement dans le domaine de la compréhension du mécanisme responsable de la durée de vie maximum et j'imagine que, si nous prenons bien soin de nous, nous pourrons en bénéficier. Je n'ai aucune idée de la durée de la vie que nous aurons. Mais avec les technologies actuelles, je pense que nous avons de bonnes chances de vivre jusqu'à 100 ans. Nous avons encore un long chemin avant d'avoir 100 ans, il nous reste encore 42 ans !

Sandy Shaw : Actuellement, les scientifiques étudient la génétique du vieillissement pour identifier les gènes impliqués dans ses processus. Nous sommes juste au début de ces recherches. Mais les travaux qui ont permis de comprendre des gènes similaires ont été très rapides. Vous seriez étonné de ce que l'on peut faire en étudiant des animaux qui ont des gènes du vieillissement ressemblant à ceux de l'homme. Vous pouvez étudier les nématodes, les souris,…Un grand nombre d'animaux ont un processus de vieillissement très similaire à celui de l'homme. Les chercheurs essaient de comprendre s'il sera possible d'intervenir dans le vieillissement de l'homme à un niveau génétique. Et ce sera comme si nous étions allés vers une famille dont tous les membres vivraient jusqu'à cent ans, là où existent les meilleures ressources génétiques. Nous serions capables d'influer sur notre vieillissement par un traitement génétique.

Durk Pearson : Il est également vrai que certains organismes complexes multicellulaires comme l'arbre Séquoia peuvent vivre près de douze mille ans. Sur le principe, il n'y a donc aucune raison que, par un extraordinaire accident, l'homme ne puisse pas vivre jusqu'à un âge extrême. Maintenant, je ne sais pas ce que peut être cet extrême. Il n'est pas inconcevable que quelqu'un puisse dire un jour : Oh, oui, je me souviens du jour où le premier homme a atterrit sur la lune il y a 500 ans !

Sandy Shaw : Ce que nous sommes en train de faire maintenant et qui semble moins étonnant que d'être soudainement capable d'ajouter à notre durée de vie par une centaine d'années, c'est réduire le risque de cancer et de maladies cardiovasculaires. Cette réduction peut être obtenue par une supplémentation naturelle comme avec certaines huiles particulières, en buvant du vin et avec un grand nombre d'autres choses. C'est réellement spectaculaire lorsque l'on regarde la réduction de risque que l'on peut obtenir.

Durk Pearson : Regardez le vin. Une étude récente a impliqué environ 7000 personnes pendant près de dix ans. Ce que les chercheurs ont trouvé, c'est que les diabétiques qui étaient des buveurs modérés, avaient une mortalité, toutes causes confondues, 80% plus faible que ceux qui ne buvaient pas d'alcool. La majorité de cette réduction étant due à une diminution du risque de maladie cardiovasculaire. Les diabétiques ont en effet un risque particulièrement élevé de maladie cardiovasculaire.

Sandy Shaw : C'est peut être une des raisons expliquant pourquoi les Français sont capables de manger une alimentation riche en graisses. Parce qu'ils boivent de l'alcool et qu la plupart d'entre eux doivent en boire une quantité modérée, ils se portent mieux en ayant une alimentation riche en graisse, qu'un grand nombre d'américains qui ne boivent pas d'alcool.

Ce qui est intéressant, c'est que lorsque vous commencez par réduire le risque de maladie cardiovasculaire et d'autres pathologies apparentées, vous avez ensuite beaucoup plus de chances de bénéficier du maximum de durée de vie que les gens souhaiteraient voir atteindre une centaine d'années, voire 122 ans comme cette Française. Mais dans l'objectif d'approcher ce but, nous devons avancer encore dans l'étude des gènes du vieillissement eux-mêmes et intervenir dans ce processus.

Que pensez-vous des organismes génétiquement modifiés ?

Durk Pearson : Franchement, je pense que les organismes génétiquement modifiés ont le potentiel d'abord de permettre de produire des aliments beaucoup moins chers, le rendement à l'hectare étant beaucoup plus important. Ensuite, c'est bon pour l'environnement parce que l'on utilise moins d'herbicides et de pesticides.

Sandy Shaw : Et pour les scientifiques, aux Etats-Unis, il n'y a pas plus de risque avec des organismes génétiquement modifiés qu'avec d'autres processus de reproduction.

Durk Pearson : Par le génie génétique, vous introduisez dans un organisme, dans une plante, un gène spécifique qui aura une fonction particulière. Lorsque vous effectuez simplement un croisement, le problème est différent. Les pommes de terre peuvent être un bon exemple. Elles sont exposées à toutes sortes de choses comme les nématodes, de petits vers qui les mangent, à des maladies et à d'autres problèmes encore. Dès les années 1900 beaucoup de gens ont travaillé très dur sur l'amélioration génétique des pommes de terre. Par croisements, ils sont parvenus à produire des variétés qui résistaient aux maladies et aux parasites comme les vers. Ils les ont mises sur le marché. Le problème est que ces variétés tuaient les vers mais étaient également néfastes pour l'homme. Avec les organismes génétiquement modifiés, vous connaissez exactement le composant chimique que vous êtes en train de faire. Par exemple, dans le maïs, une toxine BT tue la pyrale du maïs. Je peux manger des quantités importantes de maïs sans qu'il m'arrive quoi que soit. La toxine BT n'affecte pas les mammifères. Elle affecte un système enzymatique qui est propre aux pyrales et à certains autres insectes.

Si vous vous contentez de croiser des variétés de maïs pour le rendre résistant aux pyrales, vous ne saurez pas si les toxines qu'il va produire seront ou non dangereuses pour l'homme. Ce n'est pas le cas des organismes génétiquement modifiés. Lorsque vous introduisez la toxine BT dans le maïs, vous savez effectivement que ce que la toxine BT attaque n'existe pas chez les mammifères mais seulement chez certains insectes. Ce maïs va tuer les pyrales et vous n'aurez plus besoin de disséminer des insecticides. Cela coûtera moins cher à produire et ce sera plus sûr.

Sandy Shaw : Oui, mais les gens ne l'ont pas encore compris. C'est ce qui va émerger maintenant. Les gens qui développent des organismes génétiquement modifiés produisent des aliments qui sont plus sains. Laissez-moi vous donner l'exemple d'un apport naturel très récent des biotechnologies. Les pommes de terre contiennent de l'amidon et l'amidon peut vous faire grossir. Il est facilement digéré et augmente très rapidement les niveaux de sucre dans le sang.
La raison pour laquelle votre sucre sanguin augmente lorsque vous mangez des pommes de terre est qu'elles contiennent une forme d'amidon appelée amylopectine. L'amylopectine est une forme d'amidon très facilement digestible, très rapidement convertie en glucose qui va augmenter les niveaux de glucose sanguin et peut aussi être rapidement incorporé dans les réserves de graisses. L'autre forme d'amidon que l'on trouve dans les végétaux est l'amylose. Vous ne trouverez pas de légumes contenant des niveaux élevés d'amylose. La plupart d'entre eux contiennent un petit peu d'amylose et beaucoup plus d'amylopectine. Récemment, un scientifique spécialisé dans les biotechnologies a développé grâce à une technique de génie génétique, une pomme de terre qui contient davantage d'amylose. Elle est beaucoup plus saine.

Durk Pearson : C'est une pomme de terre qui contient, je dirais, de l'amidon retard. Lorsque vous mangez une pomme de terre normale, la libération de l'amidon et sa transformation en glucose se fait très rapidement. Mais quelques heures plus tard, vous avez faim par une réaction d'hypoglycémie. Avec cette pomme de terre génétiquement modifiée qui contient de l'amylose, c'est très différent. Lorsque vous l'absorbez, votre sucre sanguin s'élève un tout petit peu et reste élevé pendant plusieurs heures de telle sorte que vous éprouvez une sensation de satiété. Pensez simplement à cela. Je veux dire que les frites, avec ce type de pommes de terre, pourraient être un aliment sain. Et moi, je veux avoir la possibilité d'acheter ce type de pommes de terre. C'est une pomme de terre retard qui remplacerait une pomme de terre à action rapide.

J'aimerais maintenant que vous me parliez un peu des batailles que vous avez livré contre la FDA. Pourquoi engager un tel combat ?

Durk Pearson : C'est très simple. Nous nous sommes intéressés à l'extension de la durée de vie dès 1968. A cette époque, les limites de ce que nous pouvions faire pour augmenter la durée de vie étaient le manque d'information. Nous ne savions pas beaucoup de choses sur les causes du vieillissement. Je veux dire qu'il fallait travailler très dur pour trouvez la théorie radicalaire du vieillissement et quelques autres.

Sandy Shaw : Quelques expériences supportaient la théorie des radicaux libres mais il n'y avait vraiment pas beaucoup de travaux scientifiques à ce moment là.
Durk Pearson : Avec le temps, nous avons pu écrire, entre 1980 et 1981 « Life Extension - A Practical Scientific Approach » (Prolonger la vie - une approche scientifique pratique). Les limites sont alors devenues les barrières réglementaires, en particulier, celles érigées par la FDA. L'une des plus importantes était l'interdiction de la communication et de l'information sur les étiquettes et les publicités des suppléments nutritionnels. Le gouvernement empêchait les gens d'avoir des informations vraies sur les bénéfices santé de différents produits et technologies.

Sandy Shaw : Il y avait aussi les nutriments. Et les nutriments, il n'y a aucun moyen de les mettre dans un brevet ou un médicament. Le résultat est qu'aucun laboratoire pharmaceutique n'allait investir des millions de dollars pour mettre, par exemple, la CoQ10 sur le marché. Pour vendre la CoQ10 comme un supplément nutritionnel, il fallait pouvoir informer les gens sur les bénéfices qu'elle apportait. Si vous ne pouvez pas expliquer à quoi elle sert, même en utilisant les meilleurs outils de vente, personne ne l'achètera. Sans information, comment les gens pouvaient-ils bénéficier de la recherche qui avait été faite, recherche qui, dans la plupart des cas, avait été payée par eux.

Durk Pearson : Mais heureusement, l'Amérique a vraiment une constitution extraordinaire. Le premier amendement est un très puissant outil que nous utilisons pour contrer le pouvoir de la FDA et supprimer les déclarations mensongères.

Sandy Shaw : Vous ne pouviez mettre aucune information sur l'étiquette ou sur la notice des suppléments nutritionnels parce que la FDA l'avait interdit. Mais si vous pouvez démontrer que l'information est vraie et non trompeuse, avec la constitution des Etats-Unis, on n'a pas le droit de vous interdire de communiquer là-dessus. En 1991, un amendement à la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les produits cosmétiques, suivi d'un second en 1993, enlèvent à la FDA le pouvoir de classer comme médicament une substance ou un supplément nutritionnel sous le prétexte qu'il peut guérir ou prévenir une maladie.

Durk Pearson : Cela nous a pris sept ans pour gagner cette bataille juridique. Mais le combat n'est pas fini. Nous allons maintenant nous battre pour faire appliquer le premier amendement aux aliments.

Sandy Shaw : Chaque individu doit avoir accès à l'information où qu'il soit dans le monde et doit pouvoir décider ensuite par lui-même s'il va prendre ou non tel ou tel supplément nutritionnel. C'est entièrement de sa décision. Quand l'information est largement diffusée, chaque individu a la liberté de choisir pour lui-même.

Durk Pearson : Internet fournit des outils d'information et chaque individu qui le veut vraiment peut aller sur Internet et les utiliser. Notre bibliothèque nationale de médecine a un site. Vous pouvez y chercher la littérature scientifique du monde entier. Vous pouvez trouver simplement combien d'études existent sur une substance particulière que vous pensez prendre parce qu'elle produit un effet bénéfique. Vous trouverez également combien d'études montrent que cette substance peut être dangereuse. Et vous pouvez ensuite décider par vous-même. La bibliothèque nationale de médecine ne vous donne pas son opinion mais simplement des références, des résumés d'études, des articles scientifiques. Et c'est ensuite à vous de décider.

Durk Pearson et Sandy Shaw sont deux experts indépendants de la recherche dans le domaine de la prévention du vieillissement, du rôle joué par la nutrition dans la longévité et de la biochimie du cerveau. Leur intérêt pour la prévention du vieillissement, des maladies qui lui sont associées et pour l'extension de la durée de vie date de 1968 et fait d‘eux des pionniers en la matière. Ils sont les auteurs d'un best seller vendu à plusieurs millions d'exemplaires : Life Extension - A Practical Scientific Approach (Prolonger la vie - une approche scientifique pratique).
Durk Pearson et Sandy Shaw sont également célèbres pour les batailles qu'ils ont engagées contre la FDA (Food and Drug Administration) et les victoires qu'ils ont remportées contre elle. Ils se sont notamment battus pour obtenir que les quatre allégations suivantes puissent figurer sur les étiquettes de compléments nutritionnels :
-la consommation de vitamines antioxydantes peut réduire le risque de certains cancers,
-la consommation de fibres peut réduire le risque du cancer du colon,
-la consommation d'acides gras Omega-3 peut réduire le risque de maladie coronarienne,
- 800 mcg d'acide folique dans un supplément nutritionnel est plus efficace pour réduire le risque de malformation du tube neural qu'une plus faible quantité apportée par l'alimentation courante.

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