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01-03-2006

Le glutathion est vital

Le glutathion joue des rôles importants dans la défense antioxydante, le métabolisme des nutriments et la régulation d'événements cellulaires incluant l'expression des gènes, la synthèse de l'ADN et des protéines, la prolifération et l'apoptose cellulaires, la transduction des signaux, la production de cytokines et la réponse immunitaire…
Une déficience en glutathion contribue au stress oxydant impliqué dans le vieillissement et dans le développement de maladies comme les maladies d'Alzheimer, de Parkinson ou du foie, la mucoviscidose, l'anémie à hématie falciforme, le sida, le cancer, les accidents vasculaires cérébraux voire même l'infection à Helicobacter pylori1, 2. Augmenter les niveaux de glutathion par une supplémentation peut donc se révéler particulièrement important.


Le glutathion est une petite molécule présente dans presque chaque cellule du corps. Il est synthétisé dans l'organisme à partir de trois acides aminés : la glutamine, la glycine et la cystéine. Cette dernière contient du soufre qui donne à la molécule de glutathion son « activité biochimique ». Le glutathion est le thiol (acide aminé contenant du soufre) le plus important dans les organismes vivants. Il existe sous une forme réduite, le GSH, et sous une forme oxydée, le GSSG, toutes deux en équilibre l'une avec l'autre.
Sans le glutathion, nos cellules seraient désintégrées sous l'action d'une oxydation non maîtrisée, notre organisme peinerait à résister à l'attaque des bactéries, des virus ou du cancer et notre foie mourrait d'une accumulation de toxines.
Avec le passage des années, les niveaux de glutathion diminuent dans l'organisme. Le contenu en glutathion du foie, des reins, du cœur et du cerveau est ainsi respectivement 30, 34, 20 et 30 % plus faible chez des souris âgées (31 mois) que chez de jeunes animaux (17 à 23 mois). La concentration en glutathion peroxydase des globules rouges est également nettement plus faible chez des personnes âgées que chez de jeunes adultes.
Chez les personnes âgées, des niveaux plus élevés de glutathion sont corrélés à un meilleur état de santé, ce qui souligne son importance dans le maintien d'un organisme sain fonctionnant de façon optimale.

Un antioxydant essentiel


Le glutathion a une forte capacité de donneur d'électrons (un potentiel redox négatif élevé) combinée à une concentration intracellulaire élevée qui lui confèrent un grand pouvoir de réduction, lui permettant de prendre une part active dans la destruction des composés oxygénés réactifs. C'est le principal antioxydant hydrosoluble dans les cellules avec de fortes propriétés enzymatiques de cofacteur.
De surcroît, le glutathion recycle un certain nombre d'antioxydants comme les vitamines C et E dont il restaure le pouvoir antioxydant.

Indispensable à un système immunitaire efficace

 
Le glutathion est nécessaire dans les nombreuses étapes intriquées de la réponse immunitaire. Des niveaux élevés de glutathion permettent à l'organisme de produire plus de globules blancs qui constituent la première ligne de défense du système immunitaire. Il est ainsi indispensable à la multiplication des lymphocytes nécessaire au développement d'une réponse immunitaire forte et pour que les lymphocytes tueurs soient capables de détruire les cellules indésirables, comme les cellules cancéreuses ou des cellules infectées par des virus.
Lorsque l'on diminue de façon expérimentale les niveaux de glutathion, le fonctionnement des cellules immunitaires est inhibé, montrant que le statut intracellulaire en glutathion joue un rôle majeur à ce niveau. Il est possible, en augmentant les niveaux de glutathion, d'inverser l'affaiblissement du système immunitaire qui intervient avec le vieillissement.

Glutathion et progression de l'infection à VIH


Pour se différencier, les lymphocytes T et B ont besoin de niveaux adaptés de glutathion intracellulaire ; des sujets en bonne santé avec des niveaux relativement faibles de glutathion lymphocytaire ont un nombre significativement bas de CD4.
Des sujets infectés depuis peu par le VIH ont des niveaux anormaux de glutathion dans leurs monocytes. Ils se normalisent ensuite avec la progression de l'infection en même temps que le rapport GSH/GSSG (forme réduite/forme oxydée) est perturbé. Chez les patients infectés par le VIH, les niveaux plasmatiques de cystéine et de cystine, deux précurseurs du glutathion, sont fortement abaissés.
Des travaux ont montré que des niveaux réduits de glutathion et de son précurseur, la cystéine, jouent un rôle dans la progression du VIH en sida3. Dans une étude, des chercheurs ont analysé des échantillons de sang de volontaires en bonne santé et de patients séropositifs suivant différents traitements antiviraux. Les auteurs de l'étude ont ensuite déterminé la charge virale chez les patients séropositifs ainsi que les niveaux de cystéine et de glutathion. Les résultats ont indiqué qu'une diminution des niveaux de glutathion et de cystéine était associée à la progression de la maladie. En fait, plus la charge virale était importante, plus les niveaux de glutathion et de cystéine étaient faibles.
Le glutathion pourrait également apporter une protection contre les lésions radicalaires qui se produisent comme conséquence des traitements utilisés chez les patients malades du sida4.



Des concentrations plus faibles en cas de maladie cardio-vasculaire

 
Chez des patients ayant fait un infarctus ou des hommes souffrant d'une maladie héréditaire des artères coronaires, les niveaux de glutathion sont abaissés.
Des chercheurs ont étudié l'association entre les niveaux plasmatiques totaux de glutathion à jeun et les maladies cardio-vasculaires parmi 134 cas de maladie cardio-vasculaire et 450 sujets témoins en bonne santé5. Les concentrations moyennes de glutathion étaient plus faibles chez tous les cas de maladie cardio-vasculaire que chez les sujets en bonne santé.
Parmi des sous-groupes de sujets avec différentes maladies cardio-vasculaires, des cas d'infarctus ou d'hémorragie cérébrale avaient des niveaux de glutathion significativement plus faibles que les groupes témoins correspondants. Après ajustements pour d'autres facteurs, le risque de maladie cardio-vasculaire était significativement plus faible chez des sujets avec les niveaux de glutathion les plus élevés par rapport aux sujets ayant les niveaux les plus faibles. Cette association était plus visible chez les patients avec un infarctus lacunaire ou une hémorragie cérébrale.
Selon les auteurs de cette étude, ces résultats suggèrent que des niveaux réduits de glutathion plasmatique total constituent un facteur de risque de maladie cardio-vasculaire, en particulier pour les maladies des petits vaisseaux cérébraux.
Des chercheurs australiens ont établi un lien similaire entre le glutathion et la santé cardio-vasculaire. Lorsque les chercheurs provoquaient une chute des niveaux de glutathion mitochondrial sur des cellules du cerveau en culture, celles-ci devenaient plus vulnérables aux lésions causées par l'oxyde nitrique ou le peroxynitrite.
Les mêmes chercheurs ont conduit une étude in vivo et déterminé qu'une perte partielle de glutathion se produit au cours de l'ischémie cérébrale et persiste pendant la reperfusion (réintroduction du sang dans les zones bloquées). De plus, l'injection de monoéthylester de glutathion, un composant capable d'accroître le glutathion mitochondrial, diminue le volume de la région privée de sang6.
Les chercheurs en ont conclu qu'ensemble, ces résultats indiquent que des altérations du glutathion mitochondrial sont susceptibles de contribuer à la sévérité des lésions tissulaires dans les accidents vasculaires cérébraux et peut-être dans d'autres troubles neurologiques.

Des niveaux souvent déprimés en cas de cancer


Les radicaux libres sont impliqués dans les processus qui conduisent à des cancers. Malheureusement, le glutathion qui, normalement, pourrait participer à la défense contre les radicaux libres est souvent déprimé chez les patients atteints de cancer.
Dans une étude portant sur 52 patients atteints d'un cancer de la vessie et sur 24 adultes en bonne santé comme témoins, les niveaux de malondialdéhyde, un marqueur de l'agression des radicaux libres, étaient significativement plus élevés et ceux de glutathion significativement plus bas chez les patients cancéreux que chez les témoins7.
Dans d'autres études sur des cancers du poumon8 ou du sein9, les niveaux d'enzymes dépendantes du glutathion étaient nettement altérés selon le stade de la maladie. Des études animales ont également indiqué que des déficiences en glutathion sont associées à des lésions de l'ADN 10.

Un puissant détoxiquant


Bien que le glutathion ait été découvert en 1888, ce n'est que dans les années 1970 que son rôle détoxiquant a été reconnu.
Le glutathion permet à l'organisme de se débarrasser des toxines et polluants indésirables, comme les métaux lourds, les solvants, des médicaments ou les pesticides, en formant avec eux un composé hydrosoluble susceptible d'être ensuite excrété dans l'urine ou la bile.
Le foie est l'organe le plus fortement impliqué dans la détoxication des xénobiotiques (les substances étrangères à l'organisme). C'est aussi le plus important centre de stockage de glutathion, qui atteint ses plus fortes concentrations intracellulaires dans les cellules parenchymales (hépatocytes) du foie en bonne santé. Des études ont montré que de faibles niveaux de glutathion sont synonymes d'un moins bon fonctionnement du foie avec pour conséquence une augmentation des quantités de toxines circulant dans l'organisme.
L'acétaminophène (APAP) a été largement étudié pour sa capacité à réduire les niveaux de glutathion, et celle de ce dernier à prévenir les lésions hépatiques et rénales induites par l'APAP. Les niveaux de glutathion diminuant avec le passage des années dans tous les tissus y compris dans le foie et les reins, les organismes vieillissants sont plus vulnérables aux lésions induites par ce produit chimique que les plus jeunes.
Un groupe de scientifiques a examiné l'effet de l'APAP sur le foie de souris d'âges différents, l'étendue de la réduction des niveaux de glutathion et leur restauration. Chez les animaux témoins, les concentrations en glutathion ont diminué de 30 % pendant la durée de vie des animaux âgés par rapport aux plus jeunes. Quatre heures après l'administration d'APAP, les niveaux de glutathion chez les souris jeunes, en pleine croissance (âgées de 3 à 6 mois), adultes (12 mois) et âgées (31 mois) ont été diminués d'environ 70 %. Ces niveaux chez les animaux adultes et en pleine croissance ont retrouvé en 24 heures des valeurs proches des valeurs témoins (respectivement 66 et 94 %). Par contre, les souris âgées n'ont retrouvé en 24 heures que 41 % de ces valeurs. Ces résultats indiquent que le foie des souris âgées est non seulement déficient en glutathion mais qu'il a également une capacité de restauration réduite11.

Niveaux de glutathion et développement de maladies hépatiques

 
Des travaux scientifiques suggèrent qu'une déplétion en GSH contribue fortement aux lésions hépatiques et renforce la morbidité liée à un fonctionnement ralenti du foie. De plus, des déficiences en glutathion sont couramment observées chez les patients atteints d'une cirrhose du foie ou d'une hépatite12. Ainsi, dans une petite étude, des concentrations plasmatiques anormales de glutathion sont observées chez des patients souffrant d'une cirrhose13. Dans une autre étude, 48 patients atteints de cirrhose avaient des niveaux plasmatiques de glutathion quatre à huit fois plus bas que des volontaires en bonne santé14. L'hépatite C est caractérisée par une diminution du glutathion mitochondrial et une augmentation de la vulnérabilité des mitochondries aux radicaux libres15.
Les niveaux de glutathion réduit sont également plus bas dans les tissus malins que dans des tissus normaux adjacents de patients avec une cirrhose ou un carcinome hépatique. Des niveaux de malondialdéhyde, marqueur de la peroxydation lipidique, ont été observés plus élevés dans les tissus cancéreux que dans des tissus hépatiques témoins ; ces niveaux étaient plus élevés dans les tissus cancéreux que dans les tissus cirrhotiques. Les scientifiques ont conclu de ces résultats que le système antioxydant de la cirrhose et du carcinome hépatocellulaire était sévèrement perturbé et que cette perturbation était liée aux modifications des niveaux de glutathion et des activités des enzymes dépendantes du glutathion dans les tissus hépatiques. Le glutathion et les enzymes qui en dépendent sont des facteurs importants dans le processus de développement des maladies du foie16.


Helicobacter pylori


De précédentes études avaient montré que l'infection à Helicobacter pylori provoque dans la muqueuse gastrique une augmentation de la production d'espèces oxygénées réactives, conduisant peut-être à des maladies associées à la présence de la bactérie.
Après avoir passé en revue la littérature médicale, un groupe de chercheurs a proposé que la sévérité de l'inflammation et des lésions associées à l'infection à Helicobacter pylori soit dépendante de la capacité des cellules gastriques à contrer l'augmentation de la charge d'espèces oxygénées réactives. Les chercheurs ont émis l'hypothèse que la disponibilité du glutathion est importante pour construire une défense adaptée contre les espèces oxygénées réactives générées par l'infection à Helicobacter pylori. Ils ont suggéré qu'augmenter la disponibilité du glutathion pourrait apporter une nouvelle méthode pour prévenir ou réduire les dommages causés par Helicobacter pylori.


Mucoviscidose et santé pulmonaire

De précédentes études avaient montré que l'infection à Helicobacter pylori provoque dans la muqueuse gastrique une augmentation de la production d'espèces oxygénées réactives, conduisant peut-être à des maladies associées à la présence de la bactérie. Après avoir passé en revue la littérature médicale, un groupe de chercheurs a proposé que la sévérité de l'inflammation et des lésions associées à l'infection à Helicobacter pylori soit dépendante de la capacité des cellules gastriques à contrer l'augmentation de la charge d'espèces oxygénées réactives. Les chercheurs ont émis l'hypothèse que la disponibilité du glutathion est importante pour construire une défense adaptée contre les espèces oxygénées réactives générées par l'infection à Helicobacter pylori. Ils ont suggéré qu'augmenter la disponibilité du glutathion pourrait apporter une nouvelle méthode pour prévenir ou réduire les dommages causés par Helicobacter pylori.


De récents travaux suggèrent que des mutations de la mucoviscidose conduisent à des déficiences en glutathion dans le mucus pulmonaire, dans les cellules du système immunitaire et dans le système gastro-intestinal17. Cette déficience augmente avec le temps lorsque la charge oxydante plus élevée que la normale dans la mucoviscidose conduit à des décroissances successivement plus importantes de glutathion sans la possibilité normale de reconstituer des niveaux physiologiques.

Cette déficience en glutathion pourrait être le déclencheur de la déplétion initiale des autres antioxydants et pourrait également initier l'inflammation excessive observée dans la mucoviscidose. Selon les chercheurs, d'une certaine façon, on pourrait penser que c'est la première maladie identifiée avec un dysfonctionnement du système du glutathion.

 



Augmenter les niveaux de glutathion


Sous forme de suppléments nutritionnels, le glutathion semble efficacement absorbé par des rats. La même chose n'est pas forcément vraie chez l'homme. Lorsque l'on donne en une seule fois une dose de 3 000 mg de glutathion à sept sujets en bonne santé, les niveaux sanguins de glutathion restent inchangés18. La présence dans le système intestinal de l'homme de quantités importantes d'une enzyme, la gammaglutamyltranspeptidase, qui décompose le glutathion, est peut-être l'explication de cette mauvaise absorption.
Administré par voie orale, le glutathion est absorbé par la membrane mucosale dans la bouche. L'administration de fortes doses (5 mmol/kg) de glutathion influe sur les niveaux de GSH sanguin. Par contre, lorsque de faibles doses sont données, on enregistre seulement une augmentation des niveaux hépatiques de GSH 19. Le GSH atteint la lumière intestinale avec les aliments, la bile ou les sécrétions de la paroi intestinale. C'est dans la portion supérieure du jéjunum que la plus forte absorption est observée.
Une étude préliminaire a montré que l'absorption pouvait se faire dans la bouche lorsque des comprimés de glutathion étaient placés entre la joue et la langue 20.
Plus récemment, une autre étude préliminaire a été définie pour évaluer l'absorption d'une forme de glutathion réduit en chewing-gum. 20 sujets volontaires, 10 hommes et 10 femmes âgés d'environ 39 ans, ont subi, le matin, l'estomac vide, un test sanguin pour évaluer leurs niveaux de GSH. Un second test a été réalisé après que les sujets ont mâché deux chewing-gums contenant chacun 200 mg de glutathion réduit pendant dix minutes. Les résultats ont montré des variations significatives entre les niveaux de GSH de départ (4,13 mmol/l ± 0,50) et ceux détectés après la prise des deux chewing-gums (5,54 mmol/l ± 0,50). La concentration plasmatique en métabolites d'oxygène réactif avait également fortement diminué.

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2. Mathews G.M. et al., Cellular mucosal defense during Helicobacter pylori infection: a review of the role of glutathione and the oxidative pentose pathway, Helicobacter, 2005 Aug, 10(4): 298-306.
3. Sbrana E. et al., Quantitation of reduced glutathione and cysteine in human immunodeficiency virus-infected patients, Electrophoresis, 2004 Jun, 25(10-11) 1522-9.
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7. Arikan S. et al., The relationship between antioxidant enzymes and bladder cancer, Neoplasma, 2005, 52(4):314-7.
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9. Yeh C.C. et al., A study of glutathione status in the blood and tissues of patients with breast cancer, Cell Biochem. Funct., 2005 Sept 2, e-pub ahead of print.
10. Reliene R. et al., Glutathione depletion by buthionine sulfoximine induces DNA deletions in mice, Carcinogenesis, 2005 Sep 14, e-pub ahead of print.
11. Chen T.S. et al., Life span profiles of glutathione and acetaminophen detoxication, Drug Metabolism and disposition, 1990, 18: 6, 882-887.
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13. Chawla R.K. et al., Plasma cysteine, cystine and glutathione, Gastroenterology, 1984, 87 : 770-776.
14. Loguercio C. et al., Alteration of erythrocyte glutathione, cysteine and glutathione synthetase in alcoholic and non-alcoholic cirrhosis, Scan J. Clin. Lab. Invest., 1992, 52: 207-213.
15. Korenega M. et al., Mitochondrial dysfunction in hepatitis C, J. Clin. Gastroenterol., 2005 Apr, 39(4 Suppl 2) : S162-6.
16. Czeczot H. et al., Glutathion and GSH-dependent enzymes in patients with liver cirrhosis and hepatocellular carcinoma, Acta Biochim. Pol., 2006 Jan 11, e-pub ehead of print.
17. Hudson V.M., New insight into the pathogenesis of cystic fibrosis: pivotal role of glutathione system dysfunction and implications for therapy, Treat respire Med., 2004, 3(6): 353-63.
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20. Hynjan M.K. et al., Absorption of glutathione from the gastrointestinal tract, Biochim. Biophys. Acta, 1985, 815: 184-8.

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