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01-11-2000

L'acide lipoïque : l'antioxydant universel ?

L'acide lipoïque est nettement moins connu que d'autres antioxydants comme les vitamines C, E ou les caroténoïdes. Pourtant, les recherches de ces 50 dernières années, ont permis de découvrir sa polyvalence : composant enzymatique, c'est aussi un antioxydant puissant et ubiquitaire pouvant même être utilisé comme agent thérapeutique particulièrement intéressant.

Dans les années 50, l'acide lipoïque a été d'abord identifié comme un composant de plusieurs systèmes d'enzymes impliqués dans la conversion des sucres et des graisses en énergie.

L'acide lipoïque est un catalyseur de haute activité biologique, nécessaire à l'oxydation des glucides et des lipides conduisant à la génération d'ATP, la forme d'énergie chimique utilisée par l'organisme.

A ce titre, il est connu comme un cofacteur de la production d'énergie, de manière similaire à plusieurs vitamines B (B2, B3). Mais il n'a pas reçu le titre de vitamine B, car le foie aurait la possibilité d'en synthétiser une petite quantité.

Néanmoins, dans certaines situations pathologiques, l'acide lipoïque serait essentiel, comme certains acides aminés : la synthèse hépatique serait insuffisante par rapport aux besoins de l'organisme.

Les principales sources alimentaires d'acide lipoïque sont les épinards, les rognons, le cœur, la viande de bœuf, les brocolis. Mais elles n'en apportent que de faibles quantités.

L'intérêt de l'acide lipoïque a changé au cours des années 60. Il est passé d'un rôle physiologique à un rôle thérapeutique potentiel.

Un groupe de médecins allemands a remarqué que chez certains patients atteints de diabète et de cirrhose du foie, le niveau sanguin d'acide lipoïque était inférieur à la normale. Pour compenser ce déficit biologique, ils leur ont administré de l'acide lipoïque.

Les chercheurs ont réalisé que l'acide lipoïque jouait un rôle d'antioxydant quand ils ont découvert que son administration permettait la survie d'animaux déficients en vitamine C.

C'est en 1988 qu'il a commencé à émerger comme antioxydant universel.

Le docteur Lester Packer est le pionnier de la recherche sur l'acide lipoïque comme antioxydant.

En 1991, il est apparu comme un participant important aux fonctions antioxydantes de l'organisme au même titre que la vitamine C, la vitamine E et le glutathion.

Enfin en 1993, Lester Packer a découvert qu'il protège un facteur nucléaire contrôlant l'expression et la régulation des gênes.

Chimie de l'acide lipoïque

L'acide alpha lipoïque est appelé aussi acide thioctique ou, encore, acide lipodomique. Sa structure chimique (acide 1,2-dithiolane-3-pentanoïque), avec deux atomes de soufre (thiol) lui donne des capacités uniques.

Ces atomes de haute énergie sont largement responsables des fonctions de l'acide lipoïque dans trois directions importantes : comme coenzyme, comme puissant antioxydant et comme chélateur de minéraux. Son processus de synthèse par l'organisme n'est pas encore connu, mais il a été remarqué que les teneurs sanguines s'abaissent avec l'âge.

Tous les facteurs qui induisent un stress oxydant (pathologie, environnement) entraînent une déficience en acide lipoïque.

Cette déficience induit une baisse du niveau d'énergie qui peut être restauré par la prise d'acide lipoïque permettant d'effectuer un exercice plus intense et plus long ; L'acide lipoïque est soluble à la fois dans l'eau et les graisses, ce qui est plutôt rare pour un antioxydant. Il exerce ainsi son activité dans ces deux milieux.

L'acide lipoïque : un antioxydant idéal !

L'acide lipoïque est réduit, en particulier, dans les globules rouges, en acide dihydrolipoïque. Cette réaction est dépendante du NADPH, une forme active de vitamine B3.

C'est surtout l'acide dihydrolipoïque qui joue le rôle d'antioxydant, neutralise les radicaux libres et réduit l'oxydation de nos cellules.

L'acide lipoïque est capable de neutraliser plusieurs variétés de radicaux libres dont certains parmi les plus toxiques comme l'oxygène singulet, l'hypochlorite et le peroxynitrique.

Ces radicaux très offensifs participent aux processus de maladies telles que l'athérosclérose, le diabète, la cataracte.

L'acide lipoïque permet aussi la régénération de nombreux antioxydants. Une fois qu'un antioxydant a neutralisé un radical libre, il perd sa capacité antioxydante pour, parfois, devenir un prooxydant. Il est donc capital qu'après avoir été oxydé, il puisse être régénéré.

Les antioxydants sont régénérés par d'autres antioxydants. La vitamine C, après avoir joué son rôle d'antioxydant devient un prooxydant qui a l'avantage d'être facilement éliminé dans les urines.

L'acide dihydrolipoïque, en neutralisant un radical libre ou en régénérant un antioxydant, est oxydé en acide lipoïque.

Il ne devient donc pas un prooxydant à éliminer ou à régénérer, comme la vitamine C, pour continuer à jouer son rôle d'antioxydant. L'acide lipoïque a l'avantage de régénérer plusieurs types d'antioxydants particulièrement vitaux comme la vitamine E, le glutathion, la vitamine C et l'ubiquinol, la forme réduite du coenzyme Q10 (voir Nutranews d'octobre 2000).

Il prolonge la demi-vie de la vitamine E. De plus, son administration permet d'augmenter le taux de glutathion intracellulaire non seulement en le régénérant mais aussi en favorisant sa synthèse à partir de la cystéine.

Ce qui est particulièrement intéressant chez les sujets immunodéprimés (SIDA, surmenage du sportif de haut niveau) qui ont des taux de glutathion lymphocytaire effondrés.

La supplémentation en acide lipoïque permet ainsi de restaurer un niveau de glutathion normal (élévation de 30 à 70 % du taux d'acide lipoïque) chez les sujets déficients et permet d'abaisser le niveau de lipoperoxydation.

L'ADN, constituant nos gènes, est endommagé par les radicaux libres. L'organisme a développé des systèmes enzymatiques pour le réparer et l'éliminer lorsqu'il est oxydé. L'ADN oxydé se retrouve, sous forme de bases oxydées, dans les urines.

L'acide lipoïque a la particularité, non seulement, de protéger l'ADN des radicaux libres mais, aussi, d'aider à réparer l'ADN oxydé, ce qui le rend particulièrement efficace dans la prévention de la dégradation du génome responsable du vieillissement et du cancer.

L'acide lipoïque, comme la vitamine C, joue un rôle de chélateur vis-à-vis des métaux de transition tels le fer et le cuivre et des métaux lourds comme l'arsenic, le cadmium, le plomb et le mercure.

Lors d'un excès de fer ou de cuivre, il forme un complexe avec le fer et le cuivre, les empêchant d'oxyder la vitamine C et d'autres antioxydants.

En se liant à ces métaux toxiques, il facilite leur excrétion et réduit leur absorption. Il empêche ainsi l'intoxication de l'organisme par ces métaux dangereux.

Il est donc conseillé de se supplémenter en acide lipoïque lors d'un excès de fer ou de cuivre ou lors d'une contamination par des métaux lourds. Au niveau du globule rouge, sa capacité de chélation réduit la production de peroxyde d'hydrogène.

L'acide lipoïque, un inhibiteur de la glycation

La glycation est un acteur important du vieillissement cellulaire (voir Nutranews de septembre 2000).

L'acide lipoïque joue, ici encore, un rôle important en réduisant les dommages des protéines liés à l'excès de sucre. Avec les effets antiglycation et antioxydant de l'acide lipoïque, les dommages résiduels peuvent être réparés par un bon fonctionnement enzymatique.

Acide lipoïque et traitement de l'athérosclérose

L'athérosclérose est un processus lent au cours duquel des plaques se forment dans les vaisseaux aboutissant progressivement à leur obstruction. La formation de ces plaques est liée à l'association de plusieurs paramètres biologiques défaillants : un excès de cholestérol, un stress oxydant important, une inflammation…

Sur des modèles animaux, l'acide lipoïque a montré des effets protecteurs de l'athérosclérose.

Chez des animaux qui recevaient une alimentation induisant une athérosclérose précoce, la prise d'acide lipoïque a permis de réduire de 75 % l'incidence des lésions d'athérosclérose par rapport à ceux qui ne prenaient pas d'acide lipoïque.

Dans des cas d'hypercholestérolémie, l'administration d'acide lipoïque a permis de réduire jusqu'à 40 % le taux de cholestérol total et jusqu'à 42 % celui de cholestérol LDL chez le lapin suivant une alimentation riche en cholestérol.

L'apport d'acide lipoïque a permis d'augmenter le niveau d'oxygène dans le cœur, l'aorte et dans le foie.

Au Japon, deux groupes consommaient une alimentation favorisant l'athéro-sclérose, un des deux groupes prenait de l'acide lipoïque, l'autre un placebo. Le groupe prenant l'acide lipoïque a eu 75% moins de lésions d'athérosclérose que le groupe placebo.

L'acide lipoïque, une thérapie approuvée dans le diabète et ses complications

Le diabète est la maladie définie par une hyperglycémie à jeun (excès de sucre dans le sang).

Le diabète de type I (15% des diabètes) est lié à une insuffisance de production d'insuline, l'hormone hypoglycémiante (réduisant le niveau de sucre sanguin). Elle résulte de dégâts au niveau des cellules bêta du pancréas qui produisent l'insuline.

Le diabète de type II (85% des diabètes) est lié à une insulinorésistance, c'est-à-dire que l'insuline, produite parfois à un taux élevé, n'est plus efficace sur les tissus périphériques et ne fait plus baisser efficacement le niveau de sucre dans le sang. Ce diabète est souvent associé à l'âge, à l'obésité, à l'hypercholestérolémie. Le diabète est responsable de pathologies macrovasculaires comme l'hypertension, l'artérite et de pathologies microvasculaires comme l'insuffisance rénale, la neuropathie diabétique, la cataracte … L'acide lipoïque est utilisé, en Allemagne, dans le traitement du diabète avec succès, depuis 35 ans. L'administration d'acide lipoïque augmente le transport du glucose en stimulant ses transporteurs (GLUT-1 ET GLUT-4). Cette activité est indépendante de l'insuline.

La supplémentation en acide lipoïque (300 à 600 mg/j) abaisse significativement dans le sang, le taux de glucose, de pyruvate, de sorbitol et d'acétoacétate en augmentant la teneur musculaire et hépatique en glycogène.

La prise de 600 mg/j d'acide lipoïque pendant 4 semaines entraîne une amélioration de 30 % de l'assimilation du glucose.

En même temps, il entraîne une meilleure utilisation du glucose par les muscles, réduit la sortie de glucose hépatique et l'apport de glucides dans les cellules graisseuses, limitant ainsi la prise de poids.

L'amélioration du transport du glucose dans les muscles conduit à augmenter la production d'énergie. (élévation du métabolisme et de la production d'ATP) dans les tissus musculaires, stimule la réparation musculaire et permet d'augmenter la durée de l'exercice.

L'administration à long terme d'acide lipoïque (600 à 800 mg/j) permet de corriger la neuropathie diabétique en induisant la croissance des fibres nerveuses.

Une revue de la littérature montre que l'acide lipoïque entraîne de manière dose-dépendante une poussée de neurites. Cela est attribué à l'amélioration de la fluidité membranaire des neurones, à une meilleure oxygénation du neurone et à une épargne de la vitamine C dont le transport est affecté par la maladie.

En effet, la vitamine C et le glucose utilisent le même transporteur pour passer dans les tissus et un excès de glucose empêche, par compétition, l'entrée de vitamine C dans la cellule aboutissant à un manque de vitamine C intracellulaire. En utilisant d'autres transporteurs, l'acide lipoïque peut régénérer la vitamine C et éviter un déficit intracellulaire. L'hyperglycémie est un facteur d'élévation du taux de céruloplasmine plasmatique chez des patients atteints de neuropathies diabétiques par rapport à des sujets en bonne santé.

L'administration d'acide lipoïque réduit très significativement ce taux anormalement élevé de céruloplasmine chez les patients atteints de diabète. Cette amélioration est associée à une réduction de la lipoperoxydation.

En 1995, au cours d'un congrès sur la neuropathie diabétique, plusieurs chercheurs ont rapporté les résultats de différentes études cliniques montrant que l'acide lipoïque peut inverser les effets du diabète sur les yeux, les nerfs et le cœur.

La conférence a conclu que l'acide lipoïque est l'agent de choix pour la prévention des complications diabétiques, incluant la neuropathie, la cardiomyopathie et la rétinopathie.

La cataracte est une dégénérescence du cristallin (lentille de l'œil). Elle est induite par le rayonnement ultraviolet et le diabète. Les sujets qui ont une alimentation riche en antioxydants présentent moins de cataractes que ceux qui ont une alimentation pauvre en antioxydants.

En cas de cataracte, le tissu de la cornée est pauvre en antioxydants et, particulièrement, en glutathion. La prise d'acide lipoïque entraîne une augmentation des teneurs en glutathion, vitamines C et E de la cornée, et bloque la formation de la cataracte chez les rats diabétiques.

L'acide lipoïque, un traitement adjuvant du SIDA et des hépatites.

Au cours de l'infection au VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine), les lymphocytes, cellules clefs du système immunitaire, perdent leur capacité à synthétiser et à transporter le glutathion.

C'est pour cette raison que le patient devient immunodéprimé, que se développent des infections opportunistes, c'est-à-dire des infections qui n'atteignent habituellement pas les personnes saines, et que le patient entre progressivement dans le stade SIDA (Syndrome de l'Immunodéficience Acquise).

Ce déclin peut être prévenu en maintenant un statut antioxydant élevé. L'acide lipoïque est un puissant antioxydant qui augmente la production de glutathion.

L'administration de 150 mg d'acide lipoïque, trois fois par jour, a permis d'élever le taux de glutathion, de vitamine C, de lymphocytes T helper de 66 % et le rapport T helper/Tsuppresseur de 60%. En culture cellulaire, l'acide lipoïque empêche la réplication du VIH.

Le VIH active anormalement un gène qui va favoriser la prolifération du virus. L'administration d'acide lipoïque interdit l'activation de ce gène.

Dans un article publié sur trois cas en 1999, la prise simultanée d'acide lipoïque, de sylimarine et de sélénium a permis à des patients atteints d'hépatite C chronique d'éviter de subir une transplantation hépatique.

Cette trithérapie peut donc parfois s'avérer efficace même dans des cas désespérés et il ne faudra donc pas hésiter à la tenter. La prise d'acide lipoïque chez des patients atteints d'hépatites chroniques ou de cirrhose , augmente le contenu en ATP des hépatocytes (cellules du foie), élève la masse des hépatocytes et active leur fonction de détoxication.

L'acide lipoïque, un protecteur neurologique.

Sur le plan neurologique, l'acide lipoïque préviendrait le vieillissement cérébral. Des études chez l'animal âgé ont montré une amélioration de la mémoire à long terme lors de prise d'acide lipoïque, mais cet effet n'apparaît pas chez les jeunes. A la suite d'une ischémie (manque d'oxygène) cérébrale, par exemple liée à l'obstruction d'une artère par un caillot, la reperfusion (réoxygénation rapide) entraîne un stress oxydant élevé responsable de dégâts cérébraux pouvant être majeurs.

Lors d'une ischémie povoquée par une reperfusion cérébrale expérimentale, l'administration préventive d'acide lipoïque a permis de réduire nettement les dégâts cérébraux.

L'acide lipoïque contre l'effet des irradiations

Enfin, l'acide lipoïque protège des rayonnements ionisants :

Dans deux études russes impliquant des victimes de l'accident de Tchernobyl, la prise de 400 mg d'acide lipoïque pendant un mois a entraîné une baisse de l'excrétion urinaire d'isotope radioactif et cet effet a été renforcé par la prise, en supplément, de 200 mg/j de vitamine E, alors que la vitamine E seule n'avait pas d'effet.

L'acide lipoïque, une substance non toxique.

Pris à des doses préventives (20 à 50 mg/j) en continu, l'acide lipoïque ne présente aucun effet secondaire. Pris à des doses thérapeutiques (100 à 800 mg/j voire 1g/j), il peut entraîner, chez certaines personnes, quelques légers troubles digestifs sans aucune conséquence.

La demi-dose aiguë toxique (DL50) est évaluée à 400-500 mg/kg de poids corporel soit 28 à 35 g pour un homme de 70 kg (28 à 35 fois la dose thérapeutique maximale).

L'administration d'acide lipoïque chez le diabétique recevant en plus de l'insuline ou un autre traitement hypoglycémiant doit faire attention au risque d'hypo-glycémie, en surveillant régulièrement sa glycémie et en adaptant le traitement médicamenteux.

En conclusion : l'acide lipoïque, un antioxydant universel et un agent thérapeutique d'avenir

L'acide lipoïque mérite bien le titre d'antioxydant universel : il est très bien absorbé par le tube digestif et se diffuse dans tous les tissus, il est à la fois liposoluble et hydrosoluble, il neutralise les radicaux libres et régénère d'autres antioxydants, il chélate les métaux lourds, il aide à la réparation de l'ADN et a des effets positifs sur l'expression génique, et, enfin, réduit la glycation.

Le domaine où l'efficacité thérapeutique de l'acide lipoïque est reconnue (en Allemagne) est le diabète, notamment dans la prévention de ses complications et, en particulier, la neuropathie et la cataracte. Il devrait être utilisé en combinaison avec la N-acétyl-cystéine dans les pathologies responsables d'une chute de glutathion intracellulaire comme l'exposition aux rayonnements ionisants, les viroses, en particulier, le VIH et les hépatites, le surmenage du sportif. Enfin, il pourrait avoir son indication dans l'athérosclérose et l'hyper-cholestérolémie. En traitement préventif et curatif, l'acide lipoïque est donc une valeur sûre et d'avenir pour la recherche et la supplémentation.

Références

Sites de liens sur l'acide lipoïque :
http://www.mal-net.com/mcs/lipoic.html

Les bases de l'acide lipoïque : une interview avec le Dr Jim Clark :
http://www.solgar.com/nutrition_library/articles/clark_interview.html

Alpha-Lipoic acid : Quite Possibly the "Universal" Antioxidant :
http://www.nutritionreporter.com/Alpha-Lipoic.html

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