Accueil  >  Nutrition cérébrale  >  GPC, galantamine, PS, les...
01-12-2003

GPC, galantamine, PS, les nouveaux nutriments anti-vieillissement du cerveau

Avec le passage des années, le cerveau devient moins performant. Il est alors souvent plus difficile d'apprendre, de stocker comme d'utiliser de nouvelles informations. Dans ces mécanismes complexes, un neurotransmetteur, l'acétylcholine joue un rôle irremplaçable. Des nutriments comme l'alpha glycérylphosphorylcholine (ou GPC), la galantamine ou la phosphatidylsérine (ou PS), en stimulant la production d'acétylcholine, en protégeant l'acétylcholine existante ou en sensibilisant les récepteurs nicotiniques, peuvent concourir à protéger le cerveau de troubles cognitifs liés à l'âge ou ralentir leur apparition.

Le cerveau contrôle tous les systèmes vitaux de l'organisme et il vieillit au fur et à mesure que ce dernier prend de l'âge.

Les systèmes de santé traditionnels soutiennent souvent le concept qu'il est tout à fait normal et acceptable que les performances mentales déclinent avec l'avancée en âge. Cependant, la recherche dans ce domaine a montré qu'il y a un grand nombre de composés nutritionnels capables de soutenir un fonctionnement sain du cerveau et de nous aider à maintenir et à prolonger notre capacité de penser et de raisonner. Des études contrôlées en double aveugle, réalisées aux États-Unis comme en Europe, soulignent le rôle de différents nutriments dans le ralentissement de la perte de performance de la fonction cognitive qui peut survenir avec le vieillissement.

Ces changements peuvent apparaître, chez des individus en bonne santé, dès la cinquantaine.

La neurotransmission est le mécanisme par lequel les informations voyagent dans le cerveau, filant à toute allure d'une cellule nerveuse à une autre, sautant à travers les synapses qui les séparent ou les relient. Des molécules, appelées neurotransmetteurs, interviennent dans ce processus. L'acétylcholine est l'une des plus importantes d'entre elles. Elle est essentielle à la fonction cognitive, à l'apprentissage comme à la mémorisation. Elle est responsable du stockage des informations dans la mémoire et du souvenir, et joue un rôle important pour la mémoire à court terme.
La dégénérescence du système choli-nergique est une des caractéristiques de la maladie d'Alzheimer. Elle implique la diminution de l'enzyme de synthèse de ce neurotransmetteur, la choline acétyltransférase, dans certaines régions du cerveau. Il est maintenant clair que les perturbations de la mémoire que l'on rencontre dans la maladie d'Alzheimer tout comme d'autres troubles de la cognition sont liées à une diminution du fonctionnement de l'acétylcholine.

Trois approches permettent d'accroître la neurotransmission par l'acétylcholine :
- la stimulation de la production de l'acétylcholine. C'est l'approche la plus directe bien qu'elle ne soit pas nécessairement la meilleure. L'idée est de stimuler la synthèse de
l'acétylcholine dans le cerveau en utilisant des précurseurs chimiques, des composants qui, en réagissant avec certaines molécules dans l'organisme, vont conduire à davantage de
molécules d'acétylcholine.
- la protection de l'acétylcholine existante. C'est l'approche la plus largement
utilisée en pratique médicale parce qu'elle semble aussi être la plus efficace. À tout moment, les molécules d'acétylcholine du cerveau sont soumises à un mécanisme naturel de régulation dans lequel elles sont attaquées et détruites par une enzyme appelée acétylcholinestérase. Les composants qui diminuent cette dernière sont appelés inhibiteurs de la cholinestérase et sont les principaux agents utilisés dans le traitement de la maladie d'Alzheimer.
- la sensibilisation des récepteurs nico-tiniques. Les neurones, les cellules
nerveuses du cerveau, sont équipées de différentes sortes de sites récepteurs moléculaires pour que les molécules d'acétylcholine puissent sauter à travers les synapses. Les récepteurs nicotiniques sont parmi les plus importants et les sensibiliser pour les rendre plus réceptifs à l'acétylcholine renforce l'efficacité de la neurotransmission. La perte progressive de ces récepteurs conduit à l'apparition des signes distinctifs de la maladie d'Alzheimer.

L'alpha glycérylphosphorylcholine (GPC), un précurseur de l'acétylcholine

Les nutriments le plus souvent utilisés pour stimuler la mémoire sont des précurseurs de l'acétylcholine. Les plus courants sont les différentes formes de choline et de lécithine.
L'alpha glycérylphosphorylcholine (GPC), une forme de choline, est un nutriment très intéressant récemment développé pour stimuler la cognition. La GPC est une source de phospholipides et de choline utilisés dans le cerveau pour la biosynthèse de la phosphatidylcholine et de l'acétylcholine. La GPC a tous les effets bénéfiques de la choline mais elle augmente beaucoup plus efficacement la production d'acétylcholine et de phosphatidylcholine.
L'acétylcholine, on l'a vu, est vitale pour la communication entre les neurones
et deux études italiennes de supplémentation avec de la GPC indiquent une augmentation du fonctionnement du cerveau directement liée à un apport sain en acétylcholine. Dans ces deux essais contrôlés, des doses quotidiennes de 1 200 mg de GPC ont amélioré le souvenir immédiat et l'attention dans un groupe de jeunes adultes mâles (âgés de 19 à 38 ans) par comparaison avec un placebo1,2. Chez des sujets âgés ou d'âge moyen, une supplémentation avec de la GPC améliore les temps de réaction en soutenant la production d'énergie et la coordination electrique dans le cerveau.
Dans des études portant sur des patients âgés avec une démence vasculaire, 1 200 mg quotidiens de GPC aident à améliorer la cognition aussi bien que l'état émotionnel, la confusion ou l'apathie.
Des chercheurs de Mexico ont conclu que la GPC améliore significativement les fonctions cognitives de patients ayant des troubles cognitifs légers à modérés3. Les sujets, âgés de 60 à 80 ans souffraient tous d'un déclin de leurs fonctions cognitives avant d'entrer dans l'étude. Ils ont reçu de façon aléatoire, quotidiennement pendant six mois, 1 200 mg de GPC ou un placebo. À la fin des six mois de traitement, les fonctions cognitives des sujets sous placebo s'étaient encore affaiblies alors que celles des patients prenant de la GPC s'étaient améliorées.
Une vaste revue4 a été publiée sur les multiples effets de la GPC. L'analyse a couvert 13 essais cliniques ayant examiné un total de 4 054 patients avec différentes formes de problèmes cérébraux incluant des dysfonctionnements cognitifs débutant à l'âge adulte, la maladie d'Alzheimer ou des accidents cérébro-vasculaires. L'ensemble des résultats étaient cohérents et montraient une amélioration clinique de l'état des patients. Les chercheurs ont précisé que les effets de la GPC étaient supérieurs à ceux obtenus sous placebo particulièrement lorsque l'on considérait les désordres cognitifs liés aux pertes de mémoire ou à un déficit d'attention. Ils ont également noté que les bénéfices thérapeutiques de la GPC étaient supérieurs à ceux obtenus avec d'autres précurseurs de l'acétylcholine comme la choline ou la lécithine. Les données indiquaient également que la GPC facilitait le rétablissement fonctionnel de patients ayant souffert d'un accident cérébro-vasculaire.

Inhiber l'acétylcholinestérase et sensibiliser les récepteurs nicotiniques

Un grand nombre de composants naturels est capable de stimuler la neurotransmission par l'acétylcholine. La galantamine, extraite de bulbes de fleurs comme les jonquilles ou les perce-neige, est l'un d'entre eux. Elle a été découverte dans les années 50.
De nombreuses études scientifiques démontrant ses activités ont été publiées dans la littérature internationale au cours de ces dernières années.

La galantamine est un inhibiteur de l'acétylcholinestérase mais également un puissant sensibilisateur des récepteurs nicotiniques. Elle opère indirectement sur les récepteurs nicotiniques. Cette classe de récepteurs spécialisés de l'acétylcholine est activée par la nicotine (connue pour stimuler les fonctions cognitives et psychomotrices ainsi que le flux sanguin cérébral) et par différentes autres substances. À cause de son chemin indirect, la galantamine n'entraîne généralement pas les conséquences négatives provoquées par les médicaments affectant directement les récepteurs nicotiniques. À la différence d'autres inhibiteurs de l'acétylcholestérase comme le médicament physostigmine et le neurotransmetteur sérotonine, la galantamine ne désensibilise pas les récepteurs nicotiniques pas plus qu'elle ne les submerge de trop d'activités.

Une méta-analyse5 confirme le rôle de la galantamine comme traitement efficace de la maladie d'Alzheimer. Les auteurs ont passé en revue des journaux médicaux et des monographies, des données provenant d'essais cliniques et de thèses et ont rassemblé toute l'information disponible concernant le rôle de la galantamine dans le traitement de la maladie d'Alzheimer.
Sur trente études examinées, sept ont été retenues pour leurs critères élevés de qualité scientifique. Les résultats combinés de ces sept études, toutes impliquant des patients atteints de maladie d'Alzheimer à un stade léger à modéré, ont permis aux auteurs de conclure : “Cette revue montre des effets positifs consistants de la galantamine. Dans des essais d'une durée de 3, 5 ou 6 mois ... des éléments démontrent l'efficacité de la galantamine sur l'évaluation globale, les tests cognitifs, la réalisation des activités de la vie quotidienne et le comportement. La magnitude de son effet sur la cognition est similaire à celle d'autres inhibiteurs de la cholinestérase. En d'autres mots, en terme de fonction cognitive (mémoire et apprentissage), la galantamine agit aussi bien que des médicaments synthétiques”.

La galantamine augmente mémoire

La galantamine augmente mémoire et induit un type d'activité cognitive indistincte de celle induite par l'acétylcholine. Alors que la galantamine n'élève pas autant que d'autres inhibiteurs de l'acétylcholinestérase la disponibilité de l'acétylcholine au niveau des synapses (la jonction à travers laquelle passe l'impulsion nerveuse), elle augmente son efficacité.

Aux laboratoires de mémoire et de vieillissement de l'université de Californie, des chercheurs ont montré que des rats âgés traités avec de la galantamine subissaient d'importants changements comportementaux6. Ce sont, en fait, des résultats que l'on a obtenus dans de vastes études randomisées en double aveugle et contrôlées contre placebo avec la galantamine. Lorsqu'on administre cette substance à des personnes âgées avec une maladie d'Alzheimer diagnostiquée ou d'autres formes de démence, on obtient une amélioration significative des paramètres comportementaux et des activités de la vie quotidienne.
Différant de certains inhibiteurs de l'acétylcholinestérase, la galantamine aide à restaurer une bonne neurochimie dans le cerveau en élevant le nombre des récepteurs nicotiniques. L'étude de comportement a été la première démonstration significative de la stimulation cholinergique, durant juste quelques jours, de la plasticité synaptique, une mesure de la capacité des cellules neuronales à s'accommoder à de nouvelles données.

La galantamine apporte un profond changement dans le fonctionnement de la mémoire à long terme qui est significativement reliée à l'augmentation des liaisons des récepteurs nicotiniques. Plus grandes sont les liaisons, plus longue est la mémoire. Ces éléments suggèrent que la galantamine peut non seulement être utile pour des sujets ayant une démence liée au vieillissement mais pourrait également avoir des effets neurophysiologiques et générer des changements comportementaux bénéfiques.

La protection des membranes cellulaires du cerveau

La santé des membranes cellulaires du cerveau est cruciale pour le bon fonctionnement neurologique. La phosphatidylsérine (PS) est un phospholipide que l'on trouve dans toutes les cellules mais à une concentration particulièrement élevée dans les membranes cellulaires du cerveau. Dans le cerveau, elle affecte une grande variété de fonctions cellulaires nerveuses incluant la conduction des impulsions nerveuses, l'accumulation, le stockage et la libération de neurotransmetteurs, l'activité d'un certain nombre de récepteurs impliquant la décharge synaptique et le maintien biologiques des fonctions cellulaires d'entretien.
Au nombre de ses multiples fonctions figurent la stimulation de la libération de la dopamine (un régulateur de l'humeur qui contrôle les sensations physiques et le mouvement), l'augmentation de la production de l'acétylcholine (indispensable à l'apprentissage et à la mémoire), la stimulation du métabolisme du glucose dans le cerveau (le carburant utilisé par l'activité cérébrale), la réduction des niveaux de cortisol (une hormone du stress) et la stimulation de l'activité du facteur de croissance nerveuse (NGF) qui supervise la santé cholinergique.
On a montré qu'une supplémentation de l'alimentation avec de la PS ralentit, stoppe ou, dans de nombreux cas même, inverse la dégénération cognitive liée à l'âge ainsi que des démences comme la maladie d'Alzheimer. Il a été scientifiquement établi que la PS est l'une des substances les plus efficaces dans ce domaine, qu'elle provoque de vastes améliorations cognitives et stimule d'autres importantes fonctions du cerveau.
La PS a une grande biodisponibilité et traverse facilement la barrière hémato-cérébrale. Une fois dans le cerveau, la molécule de PS se glisse doucement à l'intérieur des membranes cellulaires du cerveau où elle devient disponible pour favoriser le niveau d'énergie cellulaire et l'homéostasie aussi bien que pour stimuler la production, la libération et l'activité des neurotransmetteurs. La PS sert également de réservoir précurseur pour les phospholipides, phosphati-dyéthanolamine et phosphatidylcholine apparentés.
Les résultats de nombreux essais cliniques contrôlés indiquent que la PS améliore de façon importante les pertes de mémoire et autres déclins cognitifs liés à l'âge. Des recherches ont montré qu'une supplémentation avec de la phosphatidylsérine peut ralentir, voire inverser, le déclin de l'apprentissage, de l'humeur, de la mémoire, de la concentration, du souvenir des mots associé à la démence ou aux troubles cognitifs liés à l'âge chez des sujets âgés ou d'âge moyen.

Dans une étude italienne multicentrique, des chercheurs ont évalué l'effet de la PS sur la détérioration mentale sénile et l'ont comparé à celui d'un placebo. Quatre-vingt-sept sujets tests âgés de 55 à 80 ans avec une détérioration cognitive modérée ont reçu 300 mg de PS ou un placebo pendant une période de 60 jours. Les résultats d'une évaluation de suivi faite à 60 puis à 90 jours ont révélé dans le groupe traité des améliorations des fonctions cognitives et, notamment, de l'attention, de la concentration et de la mémoire à court terme. Des mesures comportementales ont également montré des améliorations des aspects de la socialisation, de la vie quotidienne ainsi qu'un engagement plus marqué dans leur environnement et leur autosuffisance7.

Une étude belge a examiné les effets de la PS sur 35 patients séniles déments hospitalisés, âgés de 65 à 91 ans et ayant des troubles cognitifs et de la mémoire légers à modérés. Dix-sept patients ont reçu 300 mg quotidiens de PS tandis que dix-huit autres prenaient un placebo pendant une durée de six semaines. Utilisant différentes méthodes d'évaluation, les chercheurs ont mesuré 49 items relatifs à la vie quotidienne qu'ils ont classés en dix catégories. Les items incluaient notamment la capacité à se vêtir, à se nourrir, à contrôler sa vessie et ses intestins, à aller aux toilettes sans aide, les relations avec les autres personnes, les relations à l'environnement, les problèmes de comportement et d'expression orale. La supplémentation a amélioré ces dix paramètres8.
Dans des cas de maladie d'Alzheimer, on a supposé que la PS influait sur des changements dans le cerveau susceptibles de soulager les symptômes de démence sénile reliés à cette maladie tels qu'une augmentation de la bio-disponibilité de l'acétyl-choline9 ou une stimulation importante du métabolisme du glucose dans le cerveau.
Cinquante et un patients souffrant de maladie d'Alzheimer ont été traités pendant 12 semaines avec 300 mg de PS avec, pour résultat, une amélioration significative de plusieurs fonctions cognitives dans le groupe supplémenté par rapport à celui sous placebo. Les différences étaient beaucoup plus importantes chez les patients ayant les troubles cognitifs les plus légers, suggérant que la PS pouvait être utile aux premiers stades de la maladie10.
Dans une autre étude, des chercheurs israéliens ont observé qu'une supplémentation avec 300 mg de PS pendant douze semaines améliorait la mémoire de personnes âgées en bonne santé avec des troubles cognitifs liés au vieillissement11.


1. Effect of a GPC in brain mapping changes in patients with age associated memory impairment. Moglia A. et al., Le Basi Razionali della Terapia, 1990; 20: 80-9.
2. Changes in VEP in subjects treated with alpha GFC. Preliminary study. Le Basi Razionali della terapia 1990; 29 (3 Suppl.1): 91-3
3. Cognitive impairment in mild to moderate Alzheimer's dementia after treatment with acetylcholine precursor choline alphoscerate: a multi-centre, double-blind, randomised, placebo-controlled trial. Clin Therap 2001; Oct: 178-193.
4. Choline alphoscerate in cognitive decline and in acute cerebrovascular disease: an analysis of published clinical data. Parnetti L. et al., Mech Ageing Dev 2001 Nov; 122 (16): 2041-55.
5. Galantamine for Alzheimer's disease. Olin. et al., (Cochrane review). In the Cochrane Library, Issue2, 2001. Oxford: Update Software.
6. Chronic treatment of old rats with donezepil or galantamine: effects on memory, hippocampal plasticity and nicotinic receptors. Barnes C.A. et al., Neurosciences 2000; 99(1): 17-23.
7. Double-blind trial of phosphatidylserine in patients with senile mental deterioration. Palmieri G. et al., Clin Trials J 1987; 24: 73-83.
8. Double blind randomised controlled study of phosphatydilsérine in senile demented patients. Delwaide P.J., et al., Acta Neurol Scand 1986 Feb; 73(2): 136-40.
9. Treatment of cognitive dysfunction associated with Alzheimer's disease with cholinergic precursors. Ineffective treatments or inappropriate approaches? Amenta F., et al., Mech Ageing Dev 2001 Nov; 122(16): 2025-40.
10. Effects of phosphatydilsérine in Alzheimer's disease. Crook T. et al., Psychopharmacol Bull 1992; 28(1) : 61-66.
11. An open trial of plant-source derived phosphatydilsérine for treatment of aged-related cognitive decline. Schreiber S. et al., Isr J Psychiatry Relat Sci 2000; 37(4): 302-7.
Télécharger le pdf contenant cet article Format PDF
Commander le nutriment évoqué dans cet article
PS 100

Votre complément de phosphatidylsérine, ce composant lipidique clé qu'on retrouve dans les membranes des cellules cérébrales

www.supersmart.com
A découvrir aussi
28-08-2019
La choline, un nutriment essentiel méconnu
Souvent méconnue, la choline est une substance qui a été reconnue comme nutriment essentiel par la prestigieuse Académie Nationale de Médecine des États-Unis 1 ....
Lire plus
10-10-2016
Les incroyables vertus polyvalentes du curcuma (2/2)
En Inde, le curcuma est utilisé pour traiter toute une variété d'indispositions incluant des problèmes gastro-intestinaux, des troubles inflammatoires, des maux de tête, des infections...
Lire plus
28-06-2017
Nutrition : comment bien nourrir son cerveau...
Véritable centre de contrôle de notre système nerveux central, notre cerveau doit traiter quotidiennement des millions d’informations. Face à ce flux permanent de données, cet...
Lire plus
Suivez-nous
Sélectionnez la langue de votre choix
frendeesitnlpt

Gratuit

Merci de votre visite, avant de partir

inscrivez-vous au
Club SuperSmart
Et bénéficiez
d'avantages exclusifs:
  • Gratuit : la publication hebdomadaire scientifique "Nutranews"
  • Des promotions exclusives aux membres du club
> Continuer